Université Montpellier 1, isem licence, sem 2012-2013 Robert Braid





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Espagnols

En Espagne, les arguments sont essentiellement les mêmes, seulement les auteurs étaient des universitaires (notamment de l’université de Salamanque) plutôt que des hommes d’action. Ils faisaient partie d’un mouvement qu’on appelle souvent « Arbitriste ». Ils n’occupaient pas des postes au sein du gouvernement, mais ils rédigeaient des lettres auprès de la monarchie. Le plus célèbre était Luis Ortiz qui est l’auteur du Memorial del Contador Luis de Ortiz a Felipe II (1558). Dans cette lettre, Ortiz recommande au roi Felipe d’empêcher l’importation des produits manufacturiers dans le royaume et l’exportation des matières premières hors les frontières. Il prônait également l’investissement de l’Etat dans l’économie pour promouvoir l’industrie.


Allemands et Autrichiens

Quant aux auteurs germanophones, on ne distingue pas de différences importantes avec les autres auteurs en Europe. On peut citer Veit Ludwig von Seckendorf (1626-1692), auteur de L'Etat des princes allemands (1655) ; Johann Joachim Becher (1635-1682) auteur de Discours politique (1668) ou Philipp Wilhelm von Hornick (1640-1712) Autriche au-dessus de tous (1684). Comme les autres, ils se focalisaient sur les problèmes de l’économie nationale et favorisaient un état fort soutenu par une économie performante.


Les thèmes

En gros, il y a trois thèmes chez les « mercantilistes » que l’on ne verra pas chez les auteurs du Moyen Age ou de l’Antiquité. Le premier concerne la monnaie. Nicolas Oresme était l’un des seuls auteurs médiévaux à aborder en détails la question de la monnaie. Aristote, et par conséquence les théologiens qui ont rédigé des commentaires sur l’œuvre d’Aristote, ont vu la monnaie simplement comme un moyen d’échange. Au XIVème siècle Oresme observait les effets économiques néfastes qui proviennent de la manipulation de la valeur de la monnaie, pratiquée par la monarchie française à son époque. A l’Epoque Moderne, des quantités importantes de métaux précieux, saisis lors de la conquête de l’Amérique, envahissent les marchés européens et font flamber les prix. Les mercantilistes n’ont pas manqué de constater la corrélation. De plus, les mercantilistes tendaient à considérer que la quantité d’or et d’argent dans le royaume représentait la richesse du pays. Les politiques économiques recommandées par les mercantilistes reflètent cette association entre métaux précieux et richesse.

En effet, le rôle du gouvernement, selon les auteurs mercantilistes, était de faire grandir la quantité d’or et d’argent dans le pays. Une manière de la faire était de protéger les frontières pour favoriser l’exportation des produits manufacturiers et l’importation des produits de base. A cause de la plus-value des produits manufacturiers par rapport aux produits agricoles, ce type de commerce favoriserait le flux de métaux précieux vers le royaume. De même, les monarchies devaient investir dans des fabriques pour développer les industries nationales. Aussi, le gouvernement devait réglementer l’artisanat afin de le rendre plus productif. Finalement, étant donné le besoin d’établir une monarchie absolue et maintenir la paix dans le royaume, le pouvoir central devait faire croître l’économie nationale pour pouvoir en tirer bénéfice sous formes d’impôts. Les économistes analysaient donc le meilleur système de finances publiques sans mettre en danger la production et la richesse du pays.

Enfin, on ne manquera pas de constater que l’image du marchand s’est nettement améliorée depuis le Moyen Age. Alors que pour bon nombre de théologiens médiévaux, le marchand était celui qui tromper les producteurs et les consommateurs, et qui créaient les pénuries artificielles, pour pouvoir en tirer bénéfice, les traités à l’Epoque Moderne tendent à conférer au marchand un rôle important dans la croissance économique et dans la puissance et stabilité du pays. Ce changement ne devrait guère étonner personne, car on remarquera que les auteurs des traités économiques à l’Epoque Moderne étaient eux-mêmes des marchands. Au Moyen Age, l’Eglise détenait le monopole de la production et de la diffusion du savoir ; une fois l’imprimerie inventée, tout le monde avec les ressources suffisantes pouvait rédiger et faire copier en très grand nombre d’exemplaires leurs propres idées. Les marchands ne commençaient à être les auteurs des traités économiques qu’au XVIème siècle, ce n’est donc pas étonnant qu’ils ne s’attribuaient pas une image si peu flatteuse. Ce n’est donc pas que les idées ont changé à cette époque, mais plutôt les auteurs des traités qui ont été conservés pour les historiens du XXIème siècle. Il est évident que, si l’on pouvait les interroger, les marchands su Moyen Age auraient partagé un grand nombre des mêmes idées que leurs successeurs à l’Epoque Moderne.

Documents

A. Théories

Les finances de la République selon Jean Bodin

Les finances sont les nerfs de la République, et il y a sept moyens en général de faire fonds aux finances, parmi lesquels sont compris tous ceux qu’on peut imaginer : 1) le domaine de la République 2) les conquêtes sur les ennemis, 3) les dons des amis 4) la pension ou tribut des alliés 5) sur le trafic 6) les marchands qui apportent ou emportent des marchandises 7) les impôts des sujets.

Quant au premier, qui est le domaine, il semble être le plus honnête et le plus sûr de tous. […] Généralement, selon tous les jurisconsultes et historiens, il n’y a rien plus fréquent que la division du domaine en public et particulier. Et afin que les Princes ne soient contraints de charger d’impôts leurs sujets, ou de chercher les moyens de confisquer leur biens, tous les peuples et monarques ont tenu pour loi générale et indubitable que le domaine public doit être saint, sacré et inaliénable. […] Mais il faut noter pour la conservation du domaine des Républiques, qu’il est ordinairement mieux géré par la monarchie, qu’il ne l’est par le peuple ou par la seigneurie aristocratique où par les magistrats et surintendants aux finances, qui tournent tout ce qu’ils peuvent du bien public en particulier ; et chacun s’efforce à gratifier ses amis […] aux dépens du public. […]

[…]

Quant au septième moyen, l’impôt sur les sujets, il faut toujours essayer de l’éviter, à moins que tous les autres moyens ne défaillent, et que la nécessité mette en danger la République. Puisque la protection et défense des particuliers dépendent de la conservation du public, c’est bien la raison pour laquelle chacun admet que les charges et impositions sur les sujets sont très justes, car il n’y a rien plus juste que ce qui est nécessaire. […]

Il n’existe point de cause de révolutions ou de ruines de républiques plus fréquente que les charges et impôts excessifs. Le seul moyen d’éviter ces inconvénients, c’est de supprimer les subsides et charges extraordinaires une fois que le problème qui en était à l’origine a été résolu. Mais il ne faut pas aussi courir d’une extrémité à l’autre, et abolir tous les impôts, aides et tailles, comme plusieurs se sont efforcés de faire, n’ayant ni fonds, ni domaine pour soutenir l’Etats de la République.

Et certains, qui croient bien comprendre les affaires, tombent dans l’erreur en soutenant qu’il faut remettre les charges et impôts au niveau qu’ils étaient au temps de Louis XII, sans prendre en compte le fait que depuis ce temps-là, l’or et l’argent sont venus en si grande abondance des terres neuves, comme le Pérou, que toutes les choses sont dix fois plus chères qu’elles n’étaient auparavant, comme j’ai montré contre le paradoxe du seigneur Malestroit, tant par les coutumes de ce royaume que par les anciens contrats et aveux, où l’on voit l’estimation des denrées, des biens et des terres dix, voire, douze fois moindre qu’elle n’est à présent. Depuis, l’or et l’argent étant entrés en France par le commerce des denrées et marchandises qui vont sans cesse en Espagne, l’estimation de toutes choses a haussé, tout comme les salaires des officiers, la paye des soldats, la pension des capitaines, et toutes les dépenses de l’Etat. C’est donc pour cette raison que les impôts ont augmenté.
(Jean Bodin, Les six livres de la République, Paris, 1580, 855-882, adaptation R. Braid.)

Travail :

1) Résumer ce texte en trois lignes. Dans ce texte, Bodin énumère les différents types d’impôts. Il souligne que l’Etat doit essayer d’éviter de nuire au fonctionnement de l’économie, mais doit tout de même faire rentrer suffisamment d’argent pour couvrir les frais du fonctionnement du gouvernement. Ces frais sont de plus en plus chers à cause de l’inflation depuis l’arrivée massive de métaux précieux de l’Amérique.

2) Comment est-ce que Bodin justifie l’augmentation des impôts depuis le temps de Louis XII ?

Les impôts doivent être plus élevés parce que les prix ont augmenté. Pour supporter ses dépenses, qui sont de plus en plus chères, l’Etat doit faire rentrer plus d’argent.
3) Selon Bodin, quelle est la cause de l’inflation qui touche la France ? L’arrivée de métaux précieux en France.
Le rôle de l’Etat en matière économique selon Antoine de Montchrestien

En l'Etat, aussi bien qu'en la famille, c'est toujours avantageux d’organiser bien les hommes selon leur particulière et propre inclination. Et sur la considération de ce rapport qu'ils ont ensemble, en ce qui concerne l'utilité, on peut fort à propos maintenir, contre l'opinion d'Aristote et de Xénophon, que l'on ne saurait diviser l'économie de la politique, et que la science d'acquérir des biens, qu'ils nomment ainsi, est commune aux républiques aussi bien qu'aux familles. Pour ma part, je ne peux que m’étonner que, en leurs traités politiques, d'ailleurs si diligemment écrits, ils ont oublié cet aspect de l’organisation publique, si nécessaire pour l’Etat, et auquel l’Etat doit porter la plus grande attention.

[…]

Le plus royal exercice que peut prendre votre majesté, c’est de ramener à l’ordre ce qui s’en est détraqué, de réglementer les arts (techniques) tombés en une monstrueuse confusion, de rétablir les négoces et commerces discontinués et troublés depuis un certain temps. […]

En ce qui concerne le travail, divisé en tant d’arts et métiers, on doit principalement faire observer à vos sujets de ne pas les mélanger en une seule main. Les Allemands et les Flamands ne s’emploient qu’à un seul métier ; ainsi s’en acquittent-ils mieux. Alors que nous, les Français, voulant tout faire, nous sommes contraints de tout mal faire. Cela est un grand empêchement et nous écarte du droit chemin qui mène à la perfection d’une chose unique.

Pour remédier à cela et empêcher en ce fait l’inconstance de notre inclination au changement, votre majesté permettra, s’il lui plaît, que l’on dresse en diverses provinces de France plusieurs ateliers de métiers qui sont les plus nécessaires universellement partout, donnant la surintendance de ceux-ci à des esprits capables et intelligents, afin qu’ils répartissent les tâches entre les artisans selon leur portée et capacité. Et de cet ordre bien établi naîtra l’exquise science et l’excellente pratique des arts et des métiers, pour le bien et l’utilité de vos sujets, la recommandation de votre prudence, et la gloire de cet Etat.

Premièrement, je signale à votre Majesté, que toute la métallurgie nécessaire au royaume peut se faire abondamment et à prix raisonnable dans les pays de votre seigneurie. Y admettre des étrangers, c’est ôter la vie à plusieurs milliers de vos sujets dont cette industrie est l’héritage et ce travail le fonds de leur revenu. C’est diminuer d’autant votre propre richesse, qui augmente avec celle de votre peuple. C’est couper les nerfs de votre Etat et cherche à tenir par emprunt d’autrui les instruments de valeur. […]

Quant à la draperie, on ne saurait nier que la France en fabrique beaucoup, mais ce n’est même pas la moitié de ce qui se faisait par le passé. Cela provient principalement de l’importation de marchandises étrangères. […]

Ici, votre majesté doit se souvenir que les hommes réduits à ne rien faire sont induits à mal faire. Pour le bien, repos et richesse de l’Etat, vous devez conserver en tout, et par tout moyen, l’exercice des familles, qui sont les pépinières de la République, en supprimant l’oisiveté qui corrompt la vigueur et la chasteté. […]

Les princes les plus grands, plus libéraux et plus magnifiques ont toujours fait gloire d’inventer des moyens, d’imaginer et dresser des règlements par lesquels ils puissent enrichir leurs sujets, sachant bien que telle richesse était la vraie et inépuisable source de leurs dépenses et libéralité. […]

Je pense avoir, par le discours précédant, fait connaître à votre majesté combien il est nécessaire, par toutes sortes de considérations, d’employer les hommes de ce royaume, de leur attribuer l’exercice des arts, et pour en venir à cet effet, d’y défendre l’apport et l’usage des ouvrages étrangers.

Que l’on ne persuade point à votre majesté que vos impôts et taxes diminueront par la défense des marchandises étrangères qui viennent en ce royaume. Il y a mille moyens de récupérer la perte subie par l’absence de tarifs sur l’importation, sans endommager les intérêts de votre peuple. Car, la richesse de vos sujets est la vôtre, mais celle des étrangers ne l’est pas.

Il faudrait que nous fournissions aux peuples voisins ce qui nous surabonde, ce dont nous pouvons nous passer et dont ils ont nécessairement besoin. Les étrangers nous bouchent toutes les avenues du profit, et puis ils nous disent qu’il ne nous appartient pas de nous mêler de leurs affaires. Notre République s’affaiblit. Et pire encore, elle se dépouille pour vêtir les autres, s’enlève sa gloire pour la transmettre ailleurs avec sa richesse.

(Antoine de Montchestien, Traité d’économie politique, Rouen, 1615, édité par T. Funck-Brentano, Paris : Plon, 1889, adaptation par R. Braid)
Travail :

1) Résumer ce texte en trois lignes.

2) Expliquer la référence à Aristote et Xénophon dans le premier paragraphe.

3) Quels sont les aspects « mercantilistes » qui ressortent dans ce texte ?

4) Quelles sont les idées dans ce texte qui correspondent à celles du Moyen Age ?

5) Quelles sont des idées qui seront maintenues par l’économie classique ?

B. Ordonnances

1. « Que personne, quel que soit sa condition, n’ose exporter blé, seigle ou d’autres grains hors le royaume, sans notre permission spéciale. » (Charles IV, roi de France, 1322, Ordonnances des rois de France, p. 768.)

2. « Que personne n'importe des tissus étrangers dans le royaume, sous peine de perdre la marchandise. » (Edouard III, roi d'Angleterre, 1337, Statutes of the Realm, t. I, p. 280.)

3. « Que personne n'export du blé à l'étranger (sauf pour fournir l'armée royale) sous peine de perdre ledit blé. » (Edouard III, roi d'Angleterre, 1347, Calendar of Close Rolls, p. 281)

4. « Parce que beaucoup de mendiants, sains de corps, tant qu’ils peuvent vivre de ma mendicité, refusent de travailler et se livrent à l’oisiveté et au vice, et parfois au vol et à d’autres abominations, que personne, sous peine d’emprisonnement, donne quoi que ce soit à ceux qui peuvent travailler pour gagner leur vie. » (Edouard III, roi d’Angleterre, 1349, Statutes of the Realm, t. I, pp. 307-308)

5. « Il est ordonné que les artisans et les gens de métiers se tiennnet à un seul métier qu’ils peuvent choisir d’ici le mois de février, […] seules les femmes qui exersent le métier de brasseuses, poissonnières, tisserandes, fileuses, cardeuses, […], et toutes autres qui font des travaux manuels, peuvent exercer librement comme elles ont toujours fait auparavant. » (Edouard III, king of England, 1363, Statutes of the Realm, t. I, pp. 378-383, ch. 6.)

Travail :

Qu’est-ce que ces documents nous révèlent par rapport au lien entre la théorie et la réalité ?

Les idées exprimées par les penseurs mercantilistes à l’Epoque Moderne, notamment celles dans les textes ci-dessus, avaient déjà été appliquées dans la politique économique deux siècles auparavant.

3. La Physiocratie

Jusqu’au XVIIIème siècle, l’analyse économique n’était pas encore une science. Il s’agissait d’idées disparates qui manquaient de cohérence entre elles. Selon le Petit Robert, une science est un ensemble de « connaissances exactes, universelles et vérifiables exprimées par des lois. » Les intellectuels ne s’étaient pas préoccupés d’analyser les lois qui régissent le fonctionnement de l’économie, ils se contentaient d’observer quelques phénomènes économiques ou émettre leur avis sur certains comportements économiques. Ce n’est qu’au milieu du XVIIIème siècle que les philosophes français orientent leurs recherches vers une compréhension globale du fonctionnement de l’économie. Ces philosophes de l’économie (connus sous le nom « Physiocrates ») cherchaient à comprendre le circuit économique, c'est-à-dire comment les produits et la richesse passe d’un groupe (ou d’une classe) à un autre au sein d’un pays. Ces réflexions ne deviennent pas pleinement une science que vers la fin du XVIIIème siècle quand Adam Smith, fortement influencé par les travaux scientifiques d’Isaac Newton, trouve les lois universelles qui expliquent la circulation des richesse et l’évolution économique.

Contexte
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