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Ouvre mes yeux « Quand la santé va, tout va ». Ce dicton, nous le vérifions souvent dans notre vie quotidienne. Lorsque notre propre santé ou celle d’un être cher est atteinte, parfois beaucoup de choses changent dans notre existence... Nous avons plus de mal à faire face aux réalités quotidiennes. La fatigue nous gagne plus rapidement. Notre résistance physique est amoindrie. Notre rythme de vie se ralentit. La maladie peut être d’ordre physique, elle peut atteindre notre moral. La souffrance peut être aussi d’ordre mental ou psychologique. Dans notre société d’aujourd’hui, beaucoup d’éléments peuvent mettre en péril notre santé. Comme par exemple, le chômage, ainsi certains ou certaines n’ont plus le moyen de se soigner, non plus de mutuelle. Pour d’autres ce sont les conditions de logement insalubre qui sont génératrices de problèmes de santé. Lorsque nous ouvrons les Evangiles, nous constatons que Jésus est très attentif à la santé de ses contemporains. Il a guéri, remis debout, redonné l’espoir et confiance. Il a su par deux fois donner à manger à la foule qui le suivait et qui n’avait plus de quoi se nourrir. Il a aussi veillé à la santé de ses disciples : « Venez à l’écart pour vous reposer ». Chaque année en Févier, cette année ce dimanche 13 Février, un dimanche est réservé à la pastorale de la santé dont le thème est cette année : « Ouvre mes yeux » L’Abbé Hubert Renard, délégué épiscopal à la pastorale de la santé, nous nous présente ainsi le dimanche de la santé. « Cette proposition d’approfondir notre regard sous le regard de Dieu pour nous laisser guider par sa loi d’amour est un appel à nous mettre à l’écoute du Christ, bon samaritain qui voit l’homme blessé et devient son prochain ». L’Evangile, le suggère, les personnes rencontrées sont en nombre. Alors écoutons le Christ qui nous dit ouvre les yeux et tourne ton regard. -Vers ceux que la société rend malade, les sans voix, sans toit, sans travail, sans famille, sans amour. -Vers ceux qui gémissent sur leur lit d’hôpital, et qui sont écrasés de douleur, par la maladie. -Vers ceux qui n’en peuvent plus de lutter contre le mal, les soignants, les accompagnants, les visiteurs compatissants. C’est à une véritable conversion que nous sommes invités. la loi d’amour prend tout son sens quand nous croisons des personnes qui traversent toutes les épreuves de la vie. Chacun et chacune d’entre nous sommes appelés par le Christ à l’accomplissement de l’amour. Votre curé Abbé Jean Marie. |
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