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les risques financiers : « correspondent aux différents risques inhérents aux activités bancaires et financières, au sens large, et peuvent potentiellement concerner l’ensemble des agents économiques ; ils comprennent les risques de change, de taux ou de liquidités »11, le risque économique : « regroupe l’ensemble des risques associés à l’activité économique des entreprises, il comprend les risques d’origine externe à l’entreprise (risque politique ou risque d’inflation), mais aussi des risques spécifiques à l’entreprise (risque opérationnel, risque d’escroquerie) »12, les risques sociaux : « sont constitués des dérives possibles, internes ou externes à l’entreprise, d’origine humaine, sociale, économique, législative ou politique, ou bien encore à la communication de l’entreprise ou des médias »13, les risques environnementaux : « ce sont tous les risques associés au milieu dans lequel évolue l’entreprise (région, ville, fournisseurs, etc.) »14. Ce sont donc des éléments externes à l’entreprise qui peuvent contrarier son développement commercial et stratégique. les risques opérationnels : « sont les risques de pertes qui proviennent des erreurs du professionnel au sens large, des systèmes ou processus, ou des événements externes, tels que les risques de détérioration de l’outil industriel, les risques technologiques, les risques climatiques ou environnementaux » 15. « Selon le Comité de Bâle, ce sont les risques de pertes provenant de processus internes inadéquats ou défaillants, de personnes et systèmes ou d’événements externes »16 . Les risques en fonction de leur nature17 Selon leur nature, les risques peuvent être classés en quatre18 catégories : Figure 5 le risque inhérent : « Pour OBERT (1995) c’est le risque qu’une erreur significative se produise compte tenu des particularités de l’entreprise, de ses activités, de son environnement. C’est le risque lié au secteur d’activité de l’entreprise ; il ne dépend pas du dispositif de contrôle mis en place par l’entreprise », le risque de non-contrôle : « Pour OBERT, c’est le risque que le système interne de l’entreprise ne prévienne pas ou ne détecte pas de telles erreurs», le risque de non-détection : « C'est le risque résiduel après le passage de l'audit interne. Ce risque est du soit à une mauvaise interprétation des conclusions d'audit, soit à une insuffisance d'investigation lors des travaux d'audit », le risque résiduel : « C’est le risque qui subsiste après l’application des politiques de maîtrise des risques ». Les risques en fonction de leur niveau19 Selon leur nature, les risques peuvent être classés en trois catégories : Figure 6 le risque potentiel : « c’est le risque maximum encouru en l’absence de tout système de défense. Il est constitué à la fois des risques internes et des risques externes »20, le risque matériel : « C’est un risque qui s’est déjà matérialisé dans l’entreprise et son impact doit être évalué afin de définir une politique efficace pour sa maîtrise »21, le risque possible : « C’est le risque potentiel contre lequel une entreprise donnée ne s’est pas dotée de moyens pour le limiter ou le détecter ou le corriger »22. |
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