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D’après le gérant, il n’y a pas à Poitiers d’autres structures privés équivalentes qui proposent autant d’activités diverses et variées avec un tel cadre.
Pour réaliser cette analyse, j’ai interrogé mon maître de stage : Gilles Rebierre-Rose et j’ai utilisé un questionnaire admis au clients du club 86 d’un ancien stagiaire. 40 personnes ont répondu à ce questionnaire qui demandait aux clients si ils appréciaient la qualité de l’accueil, le dynamisme du club, la qualité de l’enseignement et la qualité des structures. Grâce aux résultats du questionnaire et en ajoutant mes propres commentaires j’ai pu construire ces tableaux rappelant les forces, les faiblesses, les opportunités et les menaces du club 86.
Première semaine (du 19 mars au 23 mars) :
Commentaire : La première semaine s’est bien déroulée, j’ai pu découvrir la structure et le gérant nous a expliqué les différentes tâches que nous allions devoir faire par la suite. J’ai eu un premier contact agréable avec les salariés de la structure. Seulement j’ai du effectuer une tâche qui m’a paru dépasser mes compétences, celle de stabiliser le terrain de foot outdoor. Deuxième semaine (du 26 mars au 1er avril) :
Commentaire : La principale mission que j’ai du effectuer durant cette semaine a été l’organisation et la mise en place du stand au salon proxi loisir qui s’est déroulé sur trois jours au parc des expositions de Poitiers. Lors de ce salon j’ai pu élargir mon réseau social en m’entretenant avec des gérants de structures diverses. Troisième semaine (du 2 avril au 6 avril) :
Commentaire : Quatrième semaine (du 09 avril au 13 avril) :
Commentaire : Cinquième semaine (du 16 avril au 20 avril) :
Commentaire : Sixième semaine (du 23 avril au 27 avril) :
Commentaire :
Ce stage m’a permis de voir comment fonctionnait une structure sportive ce dont je n’avais pas véritablement vu auparavant. Il m’a permis également de mettre en pratique les bases théoriques que j’ai du apprendre durant mon cursus scolaire. J’ai du faire face au rapport client / vendeur, et j’ai d’ailleurs appris à être plus accueillant et chaleureux avec le client. Aussi, j’ai pu apprendre les bases du métier d’accueil, à savoir me servir d’un logiciel de vente, des outils de communication (faire aimer, faire connaître, faire envie aux clients…). J’ai eu une grande fierté à établir un nouveau projet que j’ai pu commencer dès le niveau zéro (construction du terrain de foot outdoor et communication de ce projet) cela m’a aidé à me surpasser dans mon travail. De plus, j’ai eu la chance de pouvoir faire un salon multi loisirs où tous les grands centres … Grâce à la prospection, j’ai réussi à améliorer mon rapport avec les gérants d’hôtel, de pub etc…
J’aurais aimé poursuivre mon travail en marketing, c'est-à-dire d’établir un véritable plan de communication pour la structure et pouvoir le mettre réellement en place. J’aurais préféré faire d’avantage de tâche dans le domaine du management (par exemple, réaliser un dossier de sponsoring, de partenaires ou même réaliser une étude sur la structure.) J’ai trouvé que la tâche de construction du terrain de foot outdoor dépassait mes compétences, je n’étais pas apte à établir un travail de grande qualité pour ce projet. Le stage m’a paru beaucoup trop court, j’aurais aimé entreprendre des actions marketing, par exemple, sur le long terme. Le stage étant trop court, je n’ai pas pu poursuivre mon travail sur la communication du nouveau projet.
Ce stage m’a permis d’affirmer mon désir de poursuivre dans la filière management, en réalisant par la suite un master « management du sport ». En effet, j’ai éprouvé un réel plaisir durant ces six semaines de stage à vendre les divers produits aux clients, à entreprendre un nouveau projet, à m’entretenir avec de futurs clients ou d’autres dirigeants de société. Cependant, je ne sais pas si j’aurais été capable d’entreprendre des actions marketing plus poussées. J’ai pu aussi me rendre de toutes les charges qui pèsent sur une entreprise. Le master management va m’apporter tout ce dont il me manque en termes de marketing et communication pour construire ma propre entreprise.
Grâce à ce stage j’ai pu affirmer mon désir de fonder ma propre entreprise. J’aimerais créer un centre multisport (squash, futsal, fitness/musculation). Ce stage m’a aidé à déterminer les critères pour réussir à fonder une entreprise dans le milieu du sport. Il faut en effet : - diversifier son offre (c’est l’offre qui créer la demande) - proposer de nouvelles activités - proposer de nouveaux systèmes, notamment de mesure de performance - allier activités sportives et restauration (diversifier les sources de revenus) - établir des activités pour les enfants (stages multiactivités durant les vacances scolaires par exemple). - avoir des salariés qualifiés et spécialisés dans un domaine en particuliers.
Le squash est un sport individuel né au milieu du XIXème siècle. Ce sport peut être pratiqué en loisir ou en compétitions
En 2002, on dénombrait environ 300 structures en France où l’on pouvait pratiquer le squash (1300 courts). En 2012, on compte approximativement 387 clubs de squash avec 1500 courts(contre 356 clubs en 2011 d’après le Ministère des Sports) , affilié ou non à une fédération. Le nombre de clubs partenaires de la Fédération Française de Squash a lui aussi augmenté, il est passé de 161 clubs en 2005/2006 contre 201 clubs en 2010/2011. Grâce au donnée du Ministère des Sports j’ai pu établir une liste des clubs par région. Source : Ministère des Sports 09 sept 2011 Si l’on se rapporte au nombre de clubs de squash par région, nous remarquons d’après le graphique ci-dessus qu’il y a un plus fort taux de clubs de squash dans les régions d’Ile de France, région P.A.C.A (Provence Alpes Côtes d’Asur) et le Rhône-Alpes. Ceci peut être expliqué soit par le nombre de personnes vivant dans cette région (qui est plus important d’une région à une autre), soit par l’engouement des personnes vivant dans la région pour le squash.
En 2002, le marché du squash était massivement composé d’établissements privés (80% des établissements partenaires étaient des établissements privés). Cette tendance n’a pas changé au fur et à mesure des années, il y a toujours peu de structures municipales et cela peut permettre de comprendre pourquoi il y a moins de licenciés en squash qu’en tennis par exemple. Les 20% restant sont des établissement à caractère associatif ou publique. Source : F.F. Squash
D’après l’ouvrage « L’emploi Sportif en France : situation et tendances d’évolution », on comptait 25379 licenciés en squash sur les 210 000 pratiquants en 2001. D’après la Fédération Française de Squash (F.F. Squash), on compte désormais plus de 30 000 licenciés en France en comptabilisant tous les types de licences (dirigeant, étudiant, « squash pass » etc…) pour 250 000 pratiquants (chiffre de 2009). Source : F.F. SQUASH – 2010 Nous pouvons voir d’après ce graphique que le nombre de licenciés est en constante évolution depuis 2001, il augmente d’ailleurs au fil des années. Les chiffres de 2012 n’ont pas encore été dévoilé mais on peut s’attendre à ce qu’il soit en augmentation si l’on suit la logique de ce graphique. Cependant, ces chiffres restent très faibles comparé à d’autres sports de raquette comme le tennis qui compte près de 1.125.201 licenciés. |
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![]() | «étudiants stagiaires» qui accomplissent un stage au sein de la fonction publique dans le cadre de leur cursus scolaire ou universitaire.... | ![]() | |
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