Résumé Cette communication poursuit l’ambition de construire en concept l’accompagnement socioprofessionnel (asp) dans le champ de l’insertion, plus particulièrement des jeunes et à partir de l’exemple des missions locales.





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op. cit. ; Dubet F., 1973, « Pour une définition des modes d’adaptation sociale des jeunes à travers la notion de projet », Revue française de Sociologie, XIV ; Rodriguez-Tome H. et Bariaud F., 1987, Les perspectives temporelles à l’adolescence, PUF.

35 Le don appartient au registre de la socialité primaire, celle de l’interconnaissance amicale, de l’amour, des voisins, de la communauté ; le contrat s’inscrit dans la socialité secondaire qui appelle le professionnel tant il est vrai qu’un projet d’insertion n’est pas une conversation au comptoir d’un café. La socialité secondaire est « une transaction entre deux partenaires {qui} s’établit pour arriver, en principe, à une solution de compromis qui satisfera chacun, éteindra les dettes et fera disparaître un lien interpersonnel devenu inutile. » Fustier P., 2000, Le lien d’accompagnement. Entre don et contrat salarial, Paris, Dunod, p. 10. Pour autant, l’APS n’exclut pas, on l’a dit l’affectivité et l’implication du professionnel que l’on peut appeler un engagement.

36 « En ce qui concerne leur domaine propre, les organismes d’éducation populaire, de développement culturel et de jeunesse rappellent que l’éducation ne consiste pas essentiellement en un transfert de connaissance ou en la transmission d’un contenu immuable, mais surtout dans la formation d’individus aptes à prendre en charge leur propre destin et à contribuer à la transformation nécessaire de la société. », Déclaration des associations de jeunesse, d’éducation populaire et de développement culturel, 27 mai 1968, (dir.) Geneviève Poujol, 2000, Education populaire : le tournant des années 1970, Paris, L’Harmattan, p. 223.

37 Jean-Paul Sartre, cité par Vincent de Gaulejac, juin 2003, « Malaise dans la civilisation », Empan n° 50, Jeunesse et génération(s), jeunesse et transmission.

38 Labbé P., 27 janvier 2012, « Insertion : l’efficacité gangrénée par la performance », ASH n° 2744, pp. 27-28.

39 L’exemple le plus connu est celui du « contrat d’autonomie » confié aux « OPP » (opérateurs privés de placement), la tentation pouvant être forte de sélectionner son public pour garantir des résultats en termes de placement, donc de rémunération. Cependant, de façon générale, nombre de structures sont confrontées à ce risque de dévoiement de la mission de service public et du principe d’équité : « L’aide au retour à l’emploi est une mission de service public, et à ce titre, elle doit être également accomplie pour tous les demandeurs d'emploi. Or spontanément, le marché n’a aucune incitation à prendre en charge de manière égalitaire l’ensemble des chômeurs. Comme tout bien public, le traitement égalitaire des demandeurs d'emploi est soumis au risque de free-riding de la part des agents. Au lieu d’assurer l’accompagnement de tous les chômeurs, les opérateurs privés ont au contraire tout intérêt à ne se charger que des plus employables afin de présenter de bons résultats, qui se traduiront en signaux positifs sur le marché. » Georges Nathalie, février 2007, L’externalisation de l’accompagnement des demandeurs d’emploi : modalités d’un marché en plein essor, Centre d’études de l’emploi, « Document de travail » n° 81, p. 10.

40 « Les stratégies d’acteurs construisent des « mondes de l’insertion » permettant de coordonner des acteurs de l’entreprise, des intermédiaires de l’emploi, des partenaires éducatifs et des segments de jeunes socialement identifiables. Ces réseaux transversaux rassemblent des personnes qui partagent, peu ou prou, les mêmes références, les mêmes conceptions du travail et de la formation, les mêmes expériences et qui déploient des stratégies plus ou moins bien coordonnées. », Dubar C., 2001, « La construction sociale de l’insertion professionnelle », Education et Sociétés n° 7, p. 33.

41 Notons, en ce qui concerne la fréquence des entretiens, qu’il faut éviter de raisonner mécaniquement, plus la fréquence étant élevée, mieux cela étant pour l’accompagnement. Comme l’écrit le rapport de la Cour des Comptes pour le PARE-PAP « le nombre d’entretiens à réaliser a pesé sur l’organisation du travail dans les agences locales et la qualité de l’entretien s’en est ressentie. » (Cour des Comptes, mars 2006, L’évolution de l’assurance chômage : de l’indemnisation à l’aide au retour à l’emploi, Synthèse du rapport public thématique, p. 10).

42 Ces quatre personnages sont distingués pour la compréhension mais, bien sûr, sont interdépendants. Alain Touraine exprime ainsi cette interdépendance entre le Sujet et l’Acteur : « Le Sujet est le passage du Ca au Je, le contrôle exercé sur le vécu pour qu’il ait un sens personnel, pour que l’individu se transforme en acteur qui s’insère dans des relations sociales en les transformant, mais sans jamais s’identifier complètement à aucun groupe, à aucune collectivité. Car l’acteur n’est pas celui qui agit conformément à la place qu’il occupe dans l’organisation sociale, mais celui qui modifie l’environnement matériel et surtout social dans lequel il est placé » en transformant la division du travail, les modes de décision, les rapports de domination ou les orientations culturelles. », op. cit., p. 243.

43 « Si l’on distingue ainsi plusieurs sphères, raisonnant par commodité en termes de séparabilité, le plus important demeure toutefois invisible. En filigrane, il est en quelque sorte une deuxième peau qui recouvre ces dimensions, qui les infiltre, les imprègne et les unit (complexus : « ce qui relie »). Ce tissage est présent à l’échelle du sujet qui, à vrai dire, n’a que faire de la disjonction de l’économie, du social, de la sociabilité et de l’individuation. Ce sujet sait bien que tout est dans tout et que, si quelque chose est défaillant ici, ce que l’on appelle les interdépendances fera que cela dysfonctionnera là, puis partout par contamination. » Abhervé M., Labbé P. (dir), 2005, L’insertion professionnelle et sociale des jeunes ou l’intelligence pratique des missions locales, Apogée, p. 91. Cette typologie « individuation – sociabilité – sociétal – économique » a été plus développée par Labbé P., 2009, dans « Qu’est-ce que le social ? », CPNEF Branche professionnelle des acteurs du lien social et familial, Veille, Projet, Evaluation, pp. 81-100.

44 François Dubet, 1994, Sociologie de l’expérience, Seuil, p. 253. Dans la logique de l’intégration, l’acteur se définit par ses appartenances, vise à les maintenir ou à les renforcer au sein d’une société considérée alors comme un système d’intégration. Dans la logique de la stratégie, l’acteur essaie de réaliser la conception qu’il se fait de ses intérêts dans une société conçue alors « comme » un marché. Dans le registre de la subjectivation sociale, l’acteur se représente comme un sujet critique confronté à une société définie comme un système de production et de domination. » (p. 111)

45 Le concept d’individuation, emprunté à la psychanalyse jungienne, recouvre le fait d’être vraiment soi, tout ce que l’on est et seulement ce que l’on est : « La voie de l'individuation signifie : tendre à devenir un être réellement individuel et, dans la mesure où nous entendons par individualité la forme de notre unicité la plus intime, notre unicité dernière et irrévocable, il s'agit de la réalisation de son Soi, dans ce qu'il a de plus personnel et de plus rebelle à toute comparaison. » (Jung C. G., 1993, Dialectique du Moi et de l'Inconscient, Gallimard, http://fr.wikipedia.org/wiki/Individuation ). Son paradigme est donc l’autonomie (autonomos : « gouverner selon sa propre loi »), la méta-valeur que l’individuation appelle est la liberté et la distance d’interaction est petite : de l’individu lui-même (intégrité physique et psychique) à sa famille (conjoint-te, ascendants, descendants). La personne est « sujet », ce qui signifie que sa singularité est privilégiée sans toutefois que celle-ci soit indépendante du contexte, de l’environnement : « ... le sujet inscrit son action dans un cadre social contraignant, dans une histoire personnelle et structurante, ce qui n’enlève en rien à sa possibilité de choix et ne remet pas en cause, a posteriori, de tendances. Si chaque sujet peut a priori tout faire, il ne fait pas n’importe quoi car il existe des régularités et des contraintes dans les actions en société, des tendances qui distinguent les groupes sociaux. Si chacun est potentiellement doué de stratégie, le contexte social ne permet pas toujours et pas également de développer cette capacité. » (Rose J., 1998, Les jeunes face à l’emploi, Desclée de Brouwer, p. 70). Le sujet est donc unique, original, mais cette singularité s’inscrit aussi un habitus social, « emprunte sociale commune du comportement individuel » pour reprendre la formule de Norbert Elias. Pour Edgar Morin, « Nous autres, êtres culturels et sociaux, nous ne pouvons être autonomes qu’à partir d’une dépendance originelle à l’égard d’une culture, à l’égard d’un langage, à l’égard d’un savoir. L’autonomie est possible non pas en termes absolus mais en termes relationnels et relatifs. » (Morin E., 1999, La tête bien faite. Repenser la réforme, réformer la pensée, Seuil, p. 145). Morin identifie quatre principes de définition du sujet : « l’égocentrisme au sens littéral du terme : se mettre au centre de son monde » [p. 147] ; la permanence de l’auto-référence, « le sujet reste le même. Il dit simplement « j’étais enfant», «j’étais en colère», mais c’est toujours le même «je» alors que les caractères extérieurs ou psychiques de l’individualité se modifient. » [p. 148] ; l’exclusion qui « peut s’énoncer ainsi : si n’importe qui peut dire « je », personne ne peut le dire à ma place. » [p. 148] ; enfin de principe d’inclusion : « Je peux inscrire un « nous » dans mon « je », comme je peux inclure mon « je » dans un « nous ». » [p. 148].

46 Empruntant les notions de « sociabilité primaire » et « secondaire » à Alain Caillé, Robert Castel définit la première comme « les systèmes de règles liant directement les membres d’un groupe sur la base de leur appartenance familiale, de voisinage, de travail, et tissant des réseaux d’interdépendances sans la médiation d’institutions spécifiques.» (Castel R., 1995, Les métamorphoses de la question sociale, Arthème Fayard, p. 49). Cette sociabilité primaire s’observe (-vait?) dans les sociétés paysannes, de type « solidarité mécanique » pour reprendre la terminologie durkheimienne. Par contraste, la sociabilité secondaire est celle des sociétés où il existe une spécialisation des activités (division du travail et du social, « solidarité organique ») et des médiations institutionnelles, ce qualificatif devant être compris au sens large des corps intermédiaires. La sphère de la sociabilité correspond donc ici au champ des relations autres que celles de la famille et inclut le voisinage, les amis, les personnes avec lesquelles le sujet est impliqué dans des activités multiples telles que les loisirs, le travail, l’engagement militant, etc. On pourrait aussi avec Jean Baechler distinguer la sociabilité et la « sodalité ». Cette dernière désigne des groupes dont les membres poursuivent des buts communs alors que la sociabilité est plus volatile et peut tout simplement recouvrir le plaisir d’être ensemble : « C’est pourquoi le phénomène le plus typique de la sociabilité humaine est peut-être la conversation. » in Baechler J., « Groupes et sociabilité », (dir.) Boudon R., 1992, Traité de sociologie, PUF, p. 73.

47 Le concept de « liens faibles » a été développé par le sociologue américain Mark Granovetter dans sa thèse de sociologie en 1985, Getting a job : les actions que les acteurs entretiennent pour atteindre un objectif sont encastrées dans un système concret et continu de relations sociales et, par exemple, pour trouver un emploi, il vaut mieux disposer d’un réseau large de personnes avec lesquelles on a des relations superficielles qu’un petit noyau de relations solides, « liens forts », certes stables mais généralement constituées d’individus (famille, amis proches) qui n’offrent pas un spectre large d’opportunités puisqu’elles ne connaissent que les mêmes personnes (l’embeddedness). En conséquence, la force que représente un intervenant social réside dans sa position de « marginal-sécant » au bénéfice de ses usagers : capable de participer à des groupes et à des réseaux différents, il permet aux personnes de se rencontrer, d’élargir le cercle de leurs relations et, corrélativement, le champ des opportunités. Les travaux de Granovetter ont été développés dans le cadre de la théorie de la médiation, en particulier par Yves Barrel.

48 L’adjectif « sociétal » est emprunté à l’anglais, l’édition 1993 du Petit Robert le proposant avec la définition suivante : « relatif aux valeurs et aux institutions de la société ». Le Dictionnaire de la comptabilité et de la gestion financière de Louis Ménard (Institut Canadien des Comptables Agréés, 1994, Toronto), sous la rubrique « social accounting », définit le bilan social comme un « document récapitulant les principales données chiffrées qui permettent d’apprécier la situation de l’entité dans le domaine social », et l’auteur, dans une note, établit une distinction entre « information sociale » et « information sociétale » : la première regroupe les données relatives au fonctionnement social de l’entreprise, touchant notamment la rémunération, les conditions physiques d’emploi, la sécurité, la formation du personnel ; la seconde est réservée aux informations communiquées par l’entreprise en réponse aux actions menées par différents groupes de pression, en particulier les mouvements écologistes et de défense des consommateurs. La notion de « sociétal » a connu un fort essor avec les thématiques du développement durable et de la responsabilité sociale ou, précisément, sociétale de l’entreprise, celle-ci étant comprise comme un processus permanent d’amélioration dans le cadre duquel les entreprises intègrent de manière volontaire, systématique et cohérente des considérations d’ordre social, environnemental et économique dans la gestion globale de l’entreprise ; à cet égard, la concertation avec les parties prenantes de l’entreprise fait partie intégrante du processus. L’Index international et dictionnaire de la réadaptation et de l'intégration sociale (IIDRIS) définit l’attitude sociétale comme les « Opinions et points de vue généraux et spécifiques qu'ont les membres d'une culture, d'une société, de groupement sous-culturels ou autres sur la personne considérée ou sur d'autres sujets (par ex. enjeux sociaux, politiques et économiques) qui influent sur le comportement et les actes individuels. » (www.med.univ-rennes1.fr/iidris/cache/fr/7/782 ).

49 L’emploi est entendu aujourd’hui, de façon quasi-exclusive, comme l’emploi dans le secteur marchand. Cette conception étriquée devrait a minima s’élargir à l’emploi public et à l’emploi du tiers secteur (économie sociale).

50 S’agissant de la perte d’emploi dans le cadre d’un plan social ou d’une fermeture d’entreprise, Danièle Linhart écrit : « Le sentiment d’inutilité et de perte de sens est encore plus fort, car ce ne sont pas que des hommes et des femmes qui sont devenus inutiles, mais c’est tout un monde qui s’effondre, avec ses règles, ses habitudes, ses valeurs, sa culture, sa force, ses réalisations, les souvenirs qui y sont enfouis, et toutes les traces d’un passé commun qui faisait sens. » (Linhart D. (avec) Rist B., Durand E., 2003, Perte d’emploi, perte de soi, Ramonville Saint-Ange, éditions Érès, p. 33.

51 Notons que ce manifeste conditionne cette allocation à un « accompagnement mis en place par un professionnel, garant de l’engagement du jeune et mobilisant les actions, outils et prestations nécessaires à l’élaboration de son parcours. L’intervention des accompagnateurs autorise l’attribution de l’allocation à des jeunes en risque de marginalisation ou très éloignés de l’emploi. L’allocation et l’accompagnement peuvent ainsi avoir un pouvoir motivant pour ce public en l’aidant à s’engager et à se maintenir dans un parcours dynamique. »

52 « Les modalités de mobilisation de ces droits devront être définies de telle manière qu’ils facilitent, voire favorisent des parcours diversifiés, contribuant à travers des expériences multiples, à l’acquisition de compétences professionnelles et sociales plurielles. »

53 www.bigbangjeunesse.net

54 Frédéric Dalsace, David Ménascé, Pierre Victoria, 2011, L’entreprise contre la pauvreté, Fondation Jean Jaurès, « Les Essais », p. 18.
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