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Une expérience aléatoire est un protocole précis dont on ne peut pas prévoir l’issue mais qui peut être vérifiée. • EXPERIENCE ALEATOIRE Exemples
• UNIVERS Ensemble des issues possibles d’une expérience aléatoire. On le note : ![]() ![]() Exemple : Si on lance un dé à 6 faces, on a ![]() • EVENEMENT Sous-ensemble de l’univers ![]() Exemple : Soit l’évènement : « obtenir un nombre pair avec le lancement d’un dé ». On a alors ![]() • EVENEMENT ELEMENTAIRE Evènement qui ne contient qu’un seul élément. On le note alors ![]() • EVENEMENT CERTAIN C’est l’univers ![]() • EVENEMENT IMPOSSIBLE C’est l’ensemble vide ![]()
Définition : on appelle évènement contraire d’un évènement ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Evènement contraire Exemple : On lance un dé parfait. On appelle ![]() ![]()
Définition : on appelle intersection de deux évènements A et B, l’évènement noté ![]() ![]() ![]() On dit que les évènements A et B sont incompatibles si et seulement si : ![]() Exemple : On tire deux cartes dans un jeu de 32 cartes. Soient les évènements :
L’évènement ![]() Définition : on appelle union de deux évènements A et B, l’évènement noté ![]() ![]() ![]() On dit que les évènements A et ![]() ![]() ![]() Exemple : On tire deux cartes dans un jeu de 32 cartes. Soient les évènements :
L’évènement ![]()
Définition : On appelle loi de probabilité sur un ensemble ![]() ![]() ![]() • ![]() • Si A et B sont incompatibles, alors ![]() On peut alors démontrer les propriétés suivantes (mais ça, vous pouvez le faire…)…
Exemples
![]() Calculer la probabilité d’apparition de chaque face.
![]() Calculer ![]() Réponse
![]() On obtient donc : ![]()
![]() On obtient alors : ![]() On calcule ensuite : ![]()
Définition : On appelle loi de probabilité équirépartie, la loi de probabilité où chaque évènement élémentaire a la même probabilité d’apparition (équiprobabilité). Si ![]() ![]() ![]() Exemple : pour un dé à jouer équilibré, chaque face a une probabilité d’apparition de ![]() Théorème : Dans une loi équirépartie, la probabilité de l’évènement ![]() ![]() Remarque : Lorsque la loi de probabilité revient à un problème de dénombrement. On peut alors utiliser pour dénombrer les différents cas : un arbre, un tableau double entrée, diagramme de Venn, une liste,… Exemple : Une urne contient 6 boules : 4 rouges (numérotées de 1 à 4) et 2 bleues (numérotées de 5 à 6). On tire simultanément et au hasard deux boules de l’urne et on note sa couleur. Calculer la probabilité des évènements suivants : R : « tirer deux boules rouges » et C : « tirer deux boules de même couleur ». Réponse Calculons d’abord le nombre de tirages possibles. On cherche ici des paires. Faisons la liste : ![]() ![]() Il y en a en tout : ![]() Pour avoir ![]() Il y a donc : ![]() ![]() ![]() Soit ![]() ![]() ![]()
Définition : • Définir une variable aléatoire X sur ![]() ![]() ![]() ![]() • Définir une loi de probabilité de X consiste à associer à chaque valeur ![]() ![]() ![]() • On appelle l’espérance mathématique de la variable X, la quantité notée ![]() ![]() • On appelle variance et écart-type de la variable X, les quantités notées respectivement V(X) et ![]() ![]() Remarque : L’espérance mathématique correspond à une moyenne des valeurs prises, pondérées par les probabilités de la loi définie sur ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Exemple : Dans un jeu de fléchettes, la cible est constituée de disques de rayons respectifs ![]() ![]() Un joueur atteint toujours la cible et on admet que la probabilité qu’il atteigne une zone de cette cible est proportionnelle à l’aire de cette zone. Lorsqu’il atteint la zone rouge, il gagne 15 €, lorsqu’il atteint la couronne bleue, il gagne 7 €. En revanche, si la fléchette atteint la couronne verte, il perd 5 €. ![]() On appelle ![]()
Réponse
• la surface totale de la cible : ![]() • la surface du disque rouge central : ![]() • la surface de la couronne bleue : ![]() • la surface de la couronne verte : ![]() On obtient les probabilités suivantes : ![]() ![]() ![]() On obtient alors le tableau suivant :
![]() Comme l’espérance de ![]()
![]() ![]()
Propriété : ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Remarque : Le calcul de l’espérance est donc une opération linéaire. Exemple : Un professionnel vend des fauteuils. ![]() Sa commission est de 200 € par fauteuil vendu, et ses frais sont de 280 € par jour. Une étude statistique a montré que la variable aléatoire ![]() ![]() ![]()
Réponse
![]() ![]()
![]() On en déduit alors : ![]() Le vendeur peut donc espérer gagner 310 € par jour. Remarque : On peut calculer la variance et l’écart-type de ![]() ![]() On obtient alors : ![]() ![]()
Définition : Lorsque ![]() ![]() ![]()
Soient deux évènements ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() On pose : • F : « l’élève choisi est une fille » • E : « l’élève choisi est externe » On traduit les données à l’aide de probabilités. On a : ![]() On obtient alors l’arbre ci-contre : Exemple : Dans un lycée, 54 % des élèves sont des filles dont 72 % sont externes. De plus, 76 % des garçons sont externes. On choisit un élève au hasard. Propriétés : Pour remplir et utiliser un arbre, on a les propriétés suivantes : |
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![]() | ![]() | «On fait le lien entre le nombre dérivé de la fonction sinus en 0 et la limite en 0 de» | |
![]() | ![]() | «avoir un système de protection sociale européen». la situation est un schéma de Bernoulli de paramètres n = 3 et p = 0,3244, et... | |
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