© L'Est Républicain, Mardi le 03 Avril 2012 / France-Monde





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Les réactions

François Hollande

Le candidat socialiste a estimé hier qu'un président de la République doit « respecter les syndicats », accusant Nicolas Sarkozy d'avoir attaqué « l'ensemble du monde salarié » en s'en prenant aux délégués CFDT de l'entreprise ArcelorMittal de Florange.

« Un président de la République, puisque Nicolas Sarkozy est encore président de la République pour quelques semaines, attaque des syndicats qui sont représentatifs, il n'attaque pas tel ou tel dirigeant, tel ou tel permanent comme il le dit lui-même, il attaque l'ensemble du monde salarié », a déclaré M. Hollande après son intervention devant la Confédération générale des petites et moyennes entreprises.

« Et quand les salariés de Florange se battent pour leur emploi, ils ne peuvent pas admettre que les syndicalistes qui sont leurs représentants soient ainsi méprisés », a-t-il ajouté.

Selon le candidat socialiste, « le rôle d'un président de la République c'est de respecter, respecter les entreprises, respecter les partenaires sociaux, respecter les syndicats, respecter ce qu'on appelle les corps intermédiaires ».

Aurélie Filippetti

« Le candidat sortant a franchi toutes les bornes de l'irrespect et du mépris des salariés en s'en prenant avec une violence inouïe aux représentants démocratiquement élus des ouvriers d'ArcelorMittal de Gandrange et de Florange », affirme hier dans un communiqué Aurélie Filippetti, députée PS, membre de l'équipe Hollande. « Non content de mentir de manière éhontée sur les fausses promesses qu'il aurait obtenues de la direction d'ArcelorMittal », M. Sarkozy « foule aux pieds toute la représentation syndicale de l'entreprise, pourtant élue à plus de 92 % ! », s'indigne la députée PS.


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Soutien aux ArcelorMittal

La lutte des salariés d'ArcelorMittal Florange pour la sauvegarde de leurs emplois se poursuit. Ils viennent d'entamer une "grande marche de l'Acier" qui les mènera jusqu'à Paris, le 6 avril prochain. Le MFGC propose une discussion débat avec Yves Fabbri (CGT Florange), Frédéric Weber (CFDT Florange), Saïd Bouresam (OGBL Schifflange) et Jacky Mascelli (CGT Gandrange), ce soir mardi 3 avril à 20h, aux grands salons de l'hôtel de ville de Briey.

On peut aussi signer la pétition de soutien aux salariés d'ArcelorMittal : http://www.travaillerencore.fr 

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Scandale à l'intersyndicale

« Abasourdis », « scandalisés », « propos lamentables »... les membres de l'intersyndicale CGT-CFDT-FO de Florange sont tombés de haut, hier, face à « l'attaque en règle contre les représentants du personnel » de Nicolas Sarkozy. Ils rappellent un principe de base du monde du travail : les élections professionnelles. « On existe par la loi et sur le fond, on peut s'interroger sur de tels propos quand on connaît les dérives nées de la remise en cause de la représentation syndicale », avance Frédéric Weber (CFDT). Walter Broccoli (FO) rappelle que « l'intersyndicale représente 75 % des salariés et on a le soutien de tous, sauf une partie des cadres ». Quant à Yves Fabbri (CGT), il voit un président-candidat « en difficulté à 20 jours des élections parce qu'on apporte des projets ». Parmi eux, Ulcos. « On a appris il y a quelques jours que les 250 MEUR attendus de l'Europe seraient en fait un crédit d'impôts. Eh bien FO demande officiellement que l'Etat français prête cette somme pour qu'on puisse démarrer les travaux tout de suite et là, on pourra pérenniser l'acier lorrain ! » Il faudra tout de même attendre que l'Europe se prononce définitivement sur le site choisi... Mais le propos illustre la nécessité avancée par l'intersyndicale : « Il faut élever le débat, reprend Frédéric Weber, que le président-candidat parle des vrais problèmes des Français. Là, il est en décalage complet mais on ne rentrera pas dans le jeu de la provocation. » Les délégués syndicaux réfutent les accusations politiciennes, mais notent que Nicolas Sarkozy « prend la responsabilité de ses propos, les Français jugeront aux élections ». « Un président est là pour réunir pas diviser. Or, on se demande quel respect il a des petites gens, des ouvriers. En insultant les représentants du personnel, il insulte les salariés. Est-ce que la France forte, c'est uniquement celle des patrons ? »

E. de R.

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« En décalage complet »

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Pieds meurtris et pansés : les marcheurs sont mis à rude épreuve. Photo RL

La saillie présidentielle (RL d'hier) a - forcément - fait réagir l'intersyndicale de Florange qui ne souhaite toutefois rentrer dans le jeu du « dénigrement ». CFDT, CGT et FO sont sur la même longueur d'ondes. Certains plus remontés que d'autres car « il faudra expliquer à M. Sarkozy que FO fait aussi partie de l'intersyndicale », ironise Walter Broccoli, pour Force ouvrière.

Les trois syndicats s'accordent à dire que critiquer les représentants du personnel est un poil en dessous du débat sur l'emploi, en pleine campagne électorale. « On demande que l'Etat prenne ses responsabilités », reprend Walter Broccoli. « Le président-candidat pointe du doigt ceux qui défendent leurs emplois et l'avenir de la Lorraine », ajoute Yves Fabbri pour la CGT, tandis qu'à la CFDT, Frédéric Wéber complète : « Il faut élever le débat. On est là pour nos emplois et le maintien de l'outil, Nicolas Sarkozy est en décalage complet avec les vrais problèmes des Français. » Et d'estimer : « C'est un peu facile de s'attaquer toujours aux plus faibles. Ce n'est pas du niveau d'un chef de l'Etat. »

L'opération bus gratuits se poursuit afin de permettre à un maximum de personnes de participer au concert (lui aussi gratuit) de soutien aux sidérurgistes d'ArcelorMittal. Ce sera vendredi à partir de 19 h au Trocadéro à Paris (quelques détails techniques à peaufiner, mais c'est bien confirmé) avec à l'affiche Zebda, Bernard Lavilliers, Didier Porte, Calixte de Nigremont, Drôles de mecs et trois groupes lorrains.

Plusieurs villes de la vallée mettent en place des bus gratuits, les habitants intéressés peuvent s'inscrire à l'accueil des mairies de Thionville, Florange, Fameck, Hayange, Guénange, Knutange et Algrange et/ou sur le site internet de la ville de Florange : www.florange.fr

Départ prévu le 6 avril à 9 h, départ de Paris pour le retour vers 22 h.

Les marcheurs eux, sont attendus sur le Champ-de- Mars vendredi aux environs de 17 h.

Nicolas Sarkozy ne veut pas « mélanger les ouvriers et les permanents de la CFDT ou la CGT ». Soit. Il va donc falloir réécrire le fonctionnement du monde du travail puisque jusqu'alors, les salariés votent pour désigner leurs représentants. Comme leur nom l'indique, ces gens reçoivent la mission de représenter les salariés. Parce qu'on ne fait pas siéger une usine entière à un comité d'entreprise ou parce que si chacun veut défendre son pain, tout le monde n'a pas l'envie ou les épaules pour se frotter aux patrons. On peut toujours avancer une faible participation aux élections professionnelles, mais à l'instar des présidentielles, l'abstention n'étant pas prise en compte, il faut faire avec l'élu. C'est pour cela que certains citoyens pensent que le président ne les représente pas. Mais c'est quand même « le président de tous les Français »... sauf à réécrire aussi la démocratie.

E. de R.

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Stratégie

Au cas où Nicolas Sarkozy l'emporterait le 6 mai prochain, le poste de ministre du Travail ne sera pas de tout repos. Non content de faire siffler la CGT dans ses meetings, d'apostropher son secrétaire général qui a appelé, il est vrai, à voter contre lui, Nicolas Sarkozy vient d'accrocher la CFDT à son tableau de chasse aux « corps intermédiaires ».

Le reproche adressé à ses militants d'avoir voulu « saccager » sa permanence de campagne et de « trahir » les salariés, laisse néanmoins perplexe. Outre qu'aucune violence n'a été commise, il n'est pas si surprenant que des syndicalistes utilisent une campagne électorale pour embarrasser un candidat supposé pouvoir faire avancer leurs revendications. C'est vieux comme la politique. Lionel Jospin, candidat en 2002, garde un souvenir cuisant de sa visite sur le site de l'usine LU menacée de fermeture. Que les syndicats prennent de bonnes ou mauvaises initiatives, il y a les élections professionnelles pour en juger.

Au demeurant, l'attaque visant la CFDT peut d'autant plus étonner que cette confédération s'était montrée a priori moins fermée que la CGT aux « accords de compétitivité » qu'il a prônés récemment, pour adapter le temps de travail et les rémunérations dans les entreprises en difficulté.

Mais de telles considérations semblent moins peser que la volonté de Nicolas Sarkozy de passer par-dessus les syndicats pour résoudre les problèmes sociaux. L'arme du référendum brandie pour réformer la formation, selon des modalités mal connue, n'est peut-être pas étrangère au rôle que jouent les syndicats dans ce secteur depuis la loi de 1971. Le président-candidat s'est d'autre part servi de conflits comme ceux de Lejaby ou Photowatt pour montrer que lui au moins ne laissait pas « tomber » les salariés. Une leçon de volontarisme qui trouve cependant ses limites dans le fait qu'il est moins facile de faire investir des patrons amis dans les hauts fourneaux, que dans les panneaux solaires ou la maroquinerie.

Une telle stratégie ne fait pas l'unanimité à droite, mais les optimistes pensent qu'une fois l'élection gagnée, Nicolas Sarkozy reviendra aux pratiques plus « concertées » du début du quinquennat. Les pessimistes se recrutent dans les syndicats où l'on craint que Nicolas Sarkozy réélu fasse passer des mesures radicales sur la flexibilité en jouant l'appel au peuple, dans un climat dramatisé de crise économique et financière.

Jean-Michel HELVIG.  

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La CFDT condamne des « propos dangereux »

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En arrivant à l'entrée de la rue de la Convention, au QG de campagne de Nicolas Sarkozy, le 15 mars dernier, les métallos avaient aussitôt été gazés et repoussés par les gendarmes. Photo archives RL/ Pierre HECKLER

Les syndicats ont réagi vigoureusement après avoir appris dans nos colonnes les propos de Nicolas Sarkozy qui s'en prend aux « permanents de la CFDT » d'ArcelorMittal affirmant qu'ils « trahissent la confiance des salariés. »

La direction de la CFDT a « condamné », hier, les accusations de Nicolas Sarkozy contre les syndicalistes CFDT d'ArcelorMittal à Florange en jugeant ses « propos dangereux pour la démocratie, en général, et la démocratie sociale, en particulier ». Dans une interview publiée, hier, dans nos colonnes, le candidat-président s'en est pris aux « permanents de la CFDT » d'ArcelorMittal, affirmant qu'ils « trahissent la confiance des salariés » et font « de la politique au lieu de défendre l'intérêt des salariés ».

À Nancy, la CFDT Lorraine a interrompu, hier, sa commission exécutive pour réagir aux propos du candidat de l'UMP. « Nous n'avons de leçons à recevoir de personne en termes de légitimité démocratique » : Alain Gatti, secrétaire régional, a un argument immédiat en réponse aux attaques de Nicolas Sarkozy. Les 3 200 salariés d'ArcelorMittal ont participé à 92  % aux élections de représentants du personnel, en janvier 2011. La CFDT avait obtenu 35  % des voix. « Vous croyez qu'on tient 43 jours si on n'est pas porté par l'ensemble des salariés ?, demande Jean-Marc Vecrin, délégué syndical central d'ArcelorMittal. Sur le terrain, le mouvement est suivi par tous les salariés. Liège, Rodange, Schifflange ont fermé. Les gens savent qu'ils sont en danger. » Jean-Marc Vecrin estime Nicolas Sarkozy en campagne et jouant sa carte. Le syndicaliste ne veut pas entrer dans le jeu. Lui a été douze ans au laminoir avant de devenir un permanent : « On a tous un métier, avant d'être syndicaliste ».

« Détourner le sens de notre action »

Sur le déplacement à Paris, la CFDT Lorraine souligne que les salariés n'ont jamais eu l'intention de casser. « Il n'y a eu aucune dégradation à Florange », souligne Alain Gatti. Les représentants du personnel, en allant à l'UMP, voulaient juste voir le seul candidat qui ne soit pas venu. « Nous attendons une réponse à un positionnement syndical et Nicolas Sarkozy veut détourner le sens de notre action », regrette Alain Gatti. Le secrétaire général affirme que la CFDT ne se prononce pas pour un candidat, mais se positionne par rapport à des programmes.

Le rappel des sommes investies à Florange, déjà prévues par l'industriel, induit la même méfiance que par le passé. L'inquiétude demeure bien présente. « Il y a 600 salariés au packaging, dont la moitié ne travaille plus, constate Jean-Marc Vecrin. Je parie à 98  % qu'il sera fermé une fois les élections passées... » Depuis le début de la campagne, le ton monte entre le Président-candidat et les syndicats. Outre ses critiques répétées des corps intermédiaires accusés de bloquer les réformes, le candidat de l'UMP a tenu à plusieurs reprises des propos virulents contre la CGT. Son secrétaire général, Bernard Thibault, multiplie de son côté les charges contre le bilan « antisocial » du chef de l'État. Selon lui, le Président-candidat veut « piétiner les corps intermédiaires, qui sont des obstacles à ses objectifs ».

En fin de semaine dernière, le numéro un de la CFDT, François Chérèque, avait accusé Nicolas Sarkozy de « manipulation de l'opinion » et de « démagogie populiste ».

Ju. B.

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« Nicolas Sarkozy a une nouvelle fois perdu es nerfs ! »

Le responsable de la CFDT à l'aciérie ArcelorMittal de Florange, Edouard Martin, a jugé hier que Nicolas Sarkozy

« est en train de perdre pied dans ce dossier. C'est lui qui, depuis ses déclarations de 2008 à Gandrange, trahit la confiance des métallurgistes lorrains (...) Nous accuser d'avoir voulu casser son QG de campagne, alors que nous étions venus à Paris pour dialoguer, c'est instiller la haine et le mensonge ».

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Sur la route de la douleur et de l'acier

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Une pause déjeuner bienvenue pour reprendre des forces et reposer les pieds.

La route est encore longue jusqu'à Paris mais leur colère envers Nicolas Sarkozy est si grande qu'elle leur redonne de l'énergie. Photo Pascal BROCARD

Les marcheurs de l'acier étaient hier entre Epernay et Château-Thierry, avec en commun des douleurs, un avenir incertain et la colère contre les propos du président de la République. Paris n'est plus (très) loin.

En plus d'un avenir professionnel incertain, les dix-sept sidérurgistes en marche sur Paris ont un autre point en commun : ils boitent tous ! Sans exception. C'est donc un groupe claudiquant et homogène qui a investi, hier peu avant 13h, un petit parking au bord de la RD3 à la sortie de Mareuil-le-Port, dans la Marne.

José, 54 ans, sidérurgiste depuis 36 ans, a tout préparé pour le déjeuner. Comme d'habitude. « Je pars en avance sur le groupe, dès que je vois un magasin pas trop cher, j'achète la nourriture », explique-t-il devant le barbecue où grillent merguez et côtes d'agneau.

« On a marché 230 kilomètres depuis notre départ au rythme de 40 kilomètres par jour, on en fera 341 pour arriver au Champ-de-Mars », calcule Jérôme, 28 ans, reclassé de l'industrie automobile et ouvrier de l'acier depuis six ans. Rudy, retraité après quarante-trois ans de carrière, est de la partie.

De son temps, « le travail était probablement plus dur physiquement mais on avait l'assurance d'avoir du boulot toute la vie ». « Moi, mon destin, c'est peut-être de fermer les boîtes », s'inquiète Jérôme. Benaïssa, 38 ans, qui regarde avec inquiétude ses genoux « enflés » et qui « ne sont plus tout à fait droits », le reprend au vol. « Non, je t'assure que celle-ci, tu ne la fermeras pas. On va le gagner notre combat et Florange restera ouvert ».

Insulte d'État

Hier, en plus des douleurs musculaires et des ampoules aux pieds, les sidérurgistes engagés dans la marche vers Paris avaient un troisième point en commun : la colère, partagée mais différemment exprimée, après les propos de Nicolas Sarkozy, le matin même dans Le Républicain Lorrain, sur les « permanents de la CFDT » qui « trahissent la confiance des salariés ». « ArcelorMittal, c'est un caillou dans ses chaussures. Gandrange, c'était un mensonge d'État ; aujourd'hui, sa charge contre les syndicats, c'est une insulte d'État », lance Edouard Martin, délégué de la CFDT qui se voit « en bouc émissaire ».

« De toute façon, c'est la faute à tout le monde sauf à lui » poursuit-il. Jean Mangin de la CGT, marcheur également, vient à la rescousse : « L'intersyndicale est légitime, nous représentons 75  % des personnels et nous montons à Paris pour les défendre ».

Alors que le déjeuner se poursuit, les voitures klaxonnent en signe de soutien. Un agriculteur apporte une bouteille de vin. Yves, informaticien, a parcouru dans la matinée quelques kilomètres avec le groupe. « Mon père était sidérurgiste, confie-t-il, ce qui se passe est insupportable pour ces gens ». A 14h, les marcheurs redémarrent au rythme de cinq à six kilomètres par heure. Les descentes sont faites au pas de course. « Moi qui n'ai jamais fait de sport », sourit Luis qui, tant bien que mal, surmonte la douleur. Thierry, 46 ans, fera son entrée dans Paris à bord de la voiture-balai. Ses pieds sont hors d'usage. « Une grosse ampoule qui a éclaté à Verdun, c'est con... » Lui, voulait rentrer chez lui. Ses collègues ont refusé.
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