Gestion des stocks
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Gestion des stocksBut du cours : permettre de sortir des statistiques que l'on va pouvoir utiliser pour travailler sur un rayon et l'analyser. Pour obtenir des chiffres réels => on se sert de l'inventaire. Chaque année il est obligatoire de faire des bilans pour définir si perte ou bénéfice. Si bénéfice alors IS, si perte y a rien. Tout ce qui appartient à l'entreprise fait partie de sa richesse donc est imposable, donc même son stock. Et pour être imposé dessus il faut savoir sa valeur d'où l'inventaire. Un bilan, inventaire doit être fait tous les 12 mois. Richesse sur le stock = pas prix de vente public TTC mais prix d'achat HT. Dans bilan, marchandises = prix d'achat HT. État considère que quand il y a un cd/DVD avec une livre, une revue, si le doc fait plus de 8 pages le multimédia a la même TVA que le bouquin. Important ds gestion du stock de pas se planter ds le taux de TVA sinon erreur ds déclaration du stock. => Prix d'achat hors taxe => 2 sortes de livres : livres facturés ou dépôts (ds livres prêtés), donc seul livres facturés doivent être déclarés alors important de faire la séparation des deux. (si on déclare les dépôts grave la première année car variation du stock permet d'équilibrer après) => attention à séparer le concept d'exploitation et de trésorerie richesse inclut la trésorerie mais le stock par exemple c pas de la trésorerie..... => si livre acheté alors systématiquement facture InventairePermet de déclarer son stock à l’état mais aussi de mettre a jour les stocks informatiques et de définir la démarque (inconnue) (= vol + erreur de saisie) Une fois que les stocks sont fiables, il faut en tirer le plus de statistiques intéressantes pertinentes. On considère qu'un livre perd de sa valeur au fil du temps on va donc avoir un stock qui « intellectuellement » parlant, ne vaut plus la valeur à laquelle on l'a acheté. Un livre échappe à la loi Lang à partir de 2 ans de parution( dépôt légal faisant fois) et 6 mois d'ancienneté ds le stock (facture faisant fois). A partir de ce moment possible de le solder (définir les prix) et ca concerne surtout le client. Si dépréciation de stock, au bout d'un an, le libraire pourra le déprécier (arrêté Monory (?) ) . Càd qu'un livre et présent en librairie depuis plus de 3 mois et est publié depuis plus d'un an alors dépréciation possible!
Soldes : on a pas le droit de vendre à perte même pdt les soldes donc remise client peut pas excéder remise fournisseur... La dépréciation : pour les livres ayant plus d'un an de parution et étant ds le stock depuis plus de 3 mois alors l'état estime qu'il ne vaut plus que 60% de son prix d'achat (pas de prix de vente :) ) permet donc de payer moins d'impôts quand on est soumis à l'IS. C'est un avantage que donne l'état (cadeau fiscal). (avec remise = 40%) PVTTC = 105,5 € PVHT = 100€ PAHT = 60€ PA TTC = 63,30€ donc TVA = 5,50 à la vente et 3,30€ à l'achat ( lib ne paye que la différence!) pour ajouter la TVA on multiplie, pour la retirer, on divise par 1,055 . Dépréciation a des limites : 60%, et certains genres de livres ne peuvent pas être dépréciés (qui se vendent bien ou qui ont des périodes) => format poche => Dictionnaires et encyclopédies => Scolaire Mais si on déprécie on doit pouvoir le prouver, donc => ABC!! XD date de réception pour gérer les stocks : prix d'achat, dépôt or not dépôt, date de réception Fichiers répertoires ds informatiques : informations qui sont entrées pour un temps défini. Par exemple ds un répertoire éditeur : on entre la remise, le(s) distributeur(s) (maison mère, DR, grossistes, etc..) !!!! pour les remises, pour un même éditeur, selon le genre de livres, les remises peuvent être différentes! Donc il faut le prévoir! Pour cela on peut prévoir des codes rayons! Dans une librairie il y a des rayons qu'il va falloir inventoriés dc l'ordo doit être capable de les dissocier. On les choisis en fonction des familles (litté, jeunesse, BD, pratiques, SH etc.....). Rayons doivent correspondre aux stats qu'on veut avoir après l'inventaire (par ex est-ce qu'on veut les stats du policier ou pas?) et ds la librairie on doit retrouver les rayons qu'on créé ds l'informatique! Exemple en litté étrangère : on peut avoir qu'un seul rayon ds l'ordi ou un tri par pays, important de préciser le plus possible si nécessaire (par ex une collectivité qui veut une liste par pays :) ) En général, on considère qu'une lib de 250 à 1000m², quelque soit son système info a du mal à faire des infos cohérentes à moins de 100 rayon et plus de 150 / 160 rayons. Chez Gallimard : Litté/ SH Poche Pratique/guides de voyages mais ces rayons généralement sont pour tous les éditeurs! Pléiade => cas particulier!!!! donc on créé un rayon pour ca :) méthode pour les non informatisées : RMP (remise moyenne pondérée ou rémi, la mangouste psychopathe ^^ ) = remise commerciale moyenne marge brute = remise fournisseur ds le cadre de la loi Lang donc en théorie MB =MC mais on a le droit de faire des remises au client et il y a une démarque inconnue! Donc en réalité MC = MB – remises caisse – remises collectivités – démarque = remise moyenne si plus de 35% de collectivités (en moyenne) = tendance à plomber la marge... taux de démarque inconnue = 3% en France tout circuit confondu (de 0,5 à VdS à 7% en Hyper) La remise moyenne constatée en librairie est de 38 à 38,5%. = MB Donc pour calculer leur stock => on compte valeur du stock en PV (avec prix écrit sur livres)et on applique sur le total la RMP. Age du stock : stock ABC. Pour dater un stock, on se base sur la date de réception, et surtout pas sur la date de publication. Quand la lib est informatisée, facile : la date d'entrée ds le logiciel = date de réception! Mais si pas d'informatisation, alors nécessite de mettre les dates de réception sur le livre. Si le lib a du fonds, participe à l'image de la librairie. Les lib ont besoin d'avoir une image mais les outils de gestion (comme la datation du stock) permet d'équilibrer entre image et trésorerie. Les critères ABC :A en général correspond au crédit moyen fournisseur / délai moyen fournisseur, en moyenne 75 jours de mois... mais dur de faire ca par mois, donc on va travailler au mois. Donc suivant les lib et leur CMF, le stock A intègre les livres réceptionnés depuis moins de 2 à 3 mois. B forcement livres présents depuis + de 2/3 mois et choisit depuis – d'un an car on ne peut pas les déprécier (1 an = cap pour la dépréciation) ( ~ stock « sain ») C livres présents ds la lib depuis + d'un an sur lesquels on va pouvoir appliquer la dépréciation de stock. Les livres C sont pas rentables économiquement mais participent à l'image. D dépôts éditeurs Un stock qui vieillit = stock qui correspond plus à la demande et donc moins de CA Si stock vieillit, il faut analyser pq. InventairePour libs informatisées: on prends chaque livre et on le passe via un système optique (douchette par ex) et on l'inventorie. Écraser le stock = remplacer le stock théorique par le stock physique Pour libs non informatisées: On fait des feuilles pour évaluer les ABCD en inscrivant à chaque fois le prix du livre dans la colonne correspondante, puis on additionne afin d'obtenr le montant de chaque stock. Mais là c'est en PV public, donc on applique la remise moyenne pondérée pour avoir le stock en prix d'achat. En général fait par rayons pour avoir du détail. Après avoir le détail des stocks par rayon permet de définir les rayons qui vont bien et ceux qui vont « moins bien ». c'est ici qu'entre en jeu le concept de rotation : combien de fois par an je vends mon investissement (càd le stock!) rotation = CA / stock le mieux : plus rotation s'approche du délai fournisseur, plus le stock s'autofinance, donc cooooollll!!!! XD Quand on fait le calcul de la rotation, il faut faire attention à ce que ttes les valeurs soient ds la même unité! Pour lib non informatisées possible avec une caisse enregistreuse qui permet une ventilation. DONC 1. Stock en PA HT + date ( ABC) 2. CA => CA comptant / CA terme 3. CA / stock = rotation A partir de là on a des stats à peu près fiables. Mais attention!!! Quand on a finit de corriger les anomalies, il ne faut pas oublier qu'il y a des livres en retour qui n'ont pas encore étés crédités à la date de l'inventaire (les « cours de route ») . On les compte soit en ré injectant la valeur ds les stock soit on les déduits des achats (càd qu'on les ajoute ds les avoirs :) ) Il y a aussi des livraisons aux collectivités qui sont pas encore facturées en fin d'exercice... + achats datés d'avant l'inventaire mais reçu après. (soit on les rentre ds le stock soit on les enlève des achats) Cas des cde clients avec acompte : dépends de chacun, il peut y avoir un poste « accomptes » pour en tenir Si on fait l'inventaire par exemple le 30 alors que exercice clos le 31, on ajoute le CA du 31 et on enlève le stock vendu du stock Méthodes d'inventaire : Méthode des riches => sous traitance, 40 à 60 cts d'€ par exemplaire Méthode à la louche (non informatisés) : nombre de livre sur 1 étagère x nombre d'étagères x prix moyen d'un livre. Si informatisée, possibilité de faire l'inventaire physique que tous les 2 ans, et d'utiliser le stock théorique 1 an sur 2. Pour les non informatisées : Stock intial + factures – ventes termes – ventes comptant – retours /crédits = stock final permet d'avoir le total mobile (souvent fait tous les mois par les lib) et après 12 mois permet d'avoir le stock à jour (aux erreurs et démarque inconnue près) En moyenne, si informatisée, l'inventaire dure une journée. Période plus pertinente pour faire l'inventaire : entre janvier et juin (mars avril en général) Rappel du cours précédent = rotation =  . La rotation comptable n’est que la rotation de la librairie, ce n’est pas intéressant au niveau de la gestion de stock. Rotation comptable :  . Stock moyen =  CAMV = SI + achats de livres – SF. En librairie on « triche » parce que c’est beaucoup plus simple de faire la rotation « simple ». Mais les deux résultats sont + ou – équivalents. Faire beaucoup de retours avant un inventaire = pertinent parce que moins de livres à compter mais c’est tout de toute façon on aura la valeur des livres en avoir donc le résultat sera le même. En gros : quand j’achète :
Quand je retourne :
Ne pas oublier les « cours de route » :
Si on oublie un de ces trois cas, ça apparaitra comme si on avait volé les bouquins. C’est dans les documents extracomptables. Stock ABC on extrait les dépôts. Dépréciation de stock = après un an de parution et + de 3 mois en stock hors poches, scolaires et encyclo on peut les déprécier de 40% de leur valeur. Lors qu’on déprécie le stock et qu’on ne peut pas retourner certains livres qu’on ne veut plus. On peut par exemple gagner 10 000€ sur la dépréciation. On sait donc qu’on a 10 000€ de livres qui ne me coutent rien. On peut donc en balancer (jeter ou donner) certains qui trainent depuis 15 ans dans la librairie qu’on ne veut plus voir. C’est comme s’ils avaient été financés à l’avance par la dépréciation. Ces vieux livres qui ne sont plus du tout d’actualité peuvent nuire à la valeur du stock. Cela notamment en art ou les livres ont une durée de vie particulièrement courte. Avant de jeter les livres ou de les donner, on peut les solder (il faut qu’ils aient plus de 2 ans de parution et 6 mois dans la lib on sait, on sait). /!\ On ne peut solder que jusqu’au prix coutant. La première variation est plein pot mais après c’est une variation de dépréciation (comme la variation de stock). Exemple : on a 20 000€. L’année suivante on fait le même calcul et on obtient 23 000€. Mais la dépréciation réelle pour l’exercice en cours est de 3000€. On ne déprécie pas le même stock 2 années de suite (faut pas déconner non plus). On déprécie donc la différence entre les 2 années. Et à l’inverse, si on en a mois que l’année d’avant, l’état impose en plus. Variation de stock = SI – SF idem dépréciation = Dépréciation en N +1 = Dépréciation initiale – dépréciation finale. Exemple
Cela correspond respectivement à « valeur brute », « A&P » puis « valeur nette ». En moyenne, il y a 70% de nouveautés vendues et 30% de fonds vendu. Le stock est inversement proportionnel aux ventes. Dans le stock, il y a 30% de nouveautés et 70% de stock. Donc 30% du stock fournissent 70% du chiffre d’affaires. Il arrive que certain livres soient soldés par l’éditeur. Si au bout de quelque temps (2 mois, 2 jours, 2 ans…) il veut baisser le prix, il envoie des pastilles de prix aux libraires. Mais si un libraire les a déjà achetés au prix cher, l’éditeur propose un avoir de la valeur de la différence. Mais on est toujours tenu de suivre le prix éditeur. Donc on a toujours intérêt à déprécier le stock C -> même si je déprécie moins, au moins je sais que je déprécie. Pour un e librairie « normale » il faut en général un stock de 30% de A, 50% de B et 20% de C. Mais de plus en plus difficile à tenir ça. Fourchettes : Pour le C, il ne faut pas dépasser les 15-20% sinon lib pas très bien gérée. B entre 35 à 55% et A entre 30 à 50%. Idéaux : A = 40-30% B = 45 -55% C = 15 % Romans grands formats : A ≈ 60% - 55% B ≈ 25% - 30% Souvent, si le livre n’a pas marché après la période du A il est retourné. Donc ce sont des livres qu’on a envie de garder. C ≈ 15% permet d’avoir 2 sortes de livres = pas parus en poche et parus en poche mais il faut l’avoir en grand format. Ce sont des livres qu’il faut avoir, qu’on va vendre mais de façon lente. Jeunesse : A ≈ 30 nouveautés qui se vendent tout de suite et réassort qui tourne bien B ≈ 60 réassort qui mettra le temps du conseil et nouveautés ou il faut laisser du temps. C ≈ 10 L’inverse de la litté il y a beaucoup de fonds mais il est en A ou en B parce que 80% des ventes sont du conseil et les libraires conseillent leur fonds (logique, sinon c’est « cake » de garder autant de fonds…). BD : A ≈ 70% B ≈ 20% C ≈ 10 à 15% Il y a 40% de manga dans toute la BD. Poésie : A ≈ 5 à 10% rayon a rotation lente et peu d’alimentation en nouveautés. B ≈ 50% - 40% C ≈ 40% - 50% Peut être faussé à cause de la prescription scolaire. Au moins la moitié – un tiers est constituée de dépôts. C’est un rayon d’image. Philo A ≈ 20 à 25% B ≈ 45 à 50% C ≈ 30% Vulgarisation de la philosophie bcp + de ventes. On garde les nouveautés plus longtemps le temps qu’il se fasse une place. Pour certaines statistiques, pour avoir le moins d'erreur, il faut tenir compte des dépôts éditeurs. => rotation = CA/Stock, les dépôts sont forcement s ds le CA si ils sont vendus donc il faut en tenir compte dans le stock. Aujourd'hui tendance : A augmente, B stable voire baisse, C diminue! But est de rester stable économiquement mais en conservant un fonds qui permet de se démarquer des autres ( ici dépôt entre en jeu) pour savoir si répartition ABC normale, on compare à l'année précédente (pourcentages mais aussi et surtout la valeur!!! si pb on compare a valeure totale du stock sur les deux années) si stock augmente c'est soir parce que investissements soit moins de vente donc on regarde els ventes. Sur CA total : CA augmente de 12% donc bien mais attention!! en observant c'est les ventes de collectivités qui ont augmenté! Pour les commandes de collectivités soit le libraire a le livre en stock et il prélève ds le stock soit il commande, c'est un choix du libraire de prélever ds le stock de la lib ou pas. 90% des personnes qui s'occupent des collectivités commandent systématiquement. (en moyenne pris sur place = 15% des commandes collectivités!) Donc si commande systématique, stock = 0 pour le CA donc fausse la rotation, dons selon fonctionnement de la lib on retire le CA collectivité pour calculer la rotation. Pour retirer les collectivités on prends le CA total caisse  Attention au titres qui peuvent cacher un pb! Ex : prix littéraires, se vendent en décembre mais plus que 1 ou 2 exemplaires en mars lors de l'inventaire donc CA divisé par un petit stock et fausse la rotation! Exemple du rayon critique littéraireintéresse les étudiants, profs, universitaires, prescription scolaire depuis 4/5 ans, bcp moins d'étudiants en lettres prise de cs de la baisse du pouvoir d'achat, donc moins de prescription (on passe d'une dizaine de bouquins à 2-3 bouquins, et prescription de livres moins chers) livres achetés en septembre en général. Si CA diminue le stock doit diminué mais là inverse le stock a augmenté donc la rotation est mauvaise, mais pour ce genre de rayon 1,46 de rotation n'est pas foncièrement mauvais dans la conjoncture actuelle. En général, une rotation de 2 serait pas mal. Donc pas folichon => on reprend l'age du stock. Beaucoup de A mais c'est parce que période de sortie des critiques littéraires (oups!) (quitte à ce que ca se vende pas autant les publier dans période creuse soit janv fev mars) Donc conclusion : Pas mal de retour nécessaire en 1 et B mais au niveau pourcentage, le C va augmenter et c'est pas bon donc il va falloir être vigilent et être obligé de travailler le stock titre par titre. Observation dépôt : baisse importante donc surement fin de dépôt, mais ici dépôt important car rayon a faible rotation donc on a intérêt à demander aux éditeurs des dépôts. => permet de pas perdre de l'image sur le rayon. Penser aux Autorisations de retour pour les livres à retourner et attendre les prochaines stats pour analyser l'évolution. Attention à la date quand on analyse des documents!! Vente de livres : Littérature = >20% tendance à la hausse SH, SS, technique, scientifique et religieux => 23% tendance à la baisse Arts, Beaux livres, esthetique, urbanisme, architecture, ciné, photo => 6% baisse Poches tous genres confondus adultes (TGCA) => 10% auugmente BD => 6% (dont la moitie = mangas) avec tendance à une legere baisse Jeunesse dont poche (DP) => 12% et stagne Pratique =>14% en hausse Scolaire parasco dico => 9% et legere baisse Exemples de proportions ABC : 70,20,10 => maison de la presse, relais H, etc... Bcp d'evenementiels et nouveautés 25, 50, 15 => lib spé en jeunesse, BD, .... 20, 40, 40 =>spé en SH ou en beaux arts 20,30,50 => soit lib tres riche soit elle fait faillite (par exemple : les bleuets à Banon) Exemple de socio politiqueContenu : Géo politique sociologie biographies actualités essais évènementiels (élections) Rotation : passe de 3,50 à 2,60 CA caisse => -13% donc pb sur le stock (il a augmenté de + 16%) 1 => on analyse 2 => on réagit élections en 2007 mais pourtant ca n'a pas influencé les ventes, les gens s'en fichaient. Donc le – 13 % c'est juste la librairie ou c'est plus général? Rayon judicieux à Aix car Sciences Po mais comme pour les lettres, achètent moins de livres, moins de prescriptions. Donc c'est pas impressionnant que le rayon se casse la figure mais ce qui est grave c'est d'avoir continuer d'acheter des livres alors qu'il n'y a plus de ventes. Il faut donc travailler sur le stock. (trop de stock) Stock A => évènementiels, va se vendre ou sera retourner après, pas de PB, et B peut être retourné aussi mais si bcp de retour A et B alors C va augmenter en pourcentage donc nécessaire de faire attention, surtout ds ce rayon ou il y a bcp de livres éphémères (sur un point particulier), le stock B glisse vers le C et peu à peu le B alimente le stock C qui devient invendable car plus d'actualités et qu'on ne peut peut être plus retournés car dépassés. Donc en solution : on fait des retours en C, et on surveille le B pour pas avoir le même pb l'année suivante. Et j'achète moins de nouveautés ( en quantité) en ajustant le mieux possible les réassort à la clientèle. Quand on a fait tt ca, on a interet à faire des situations, cad à refaire cette analyse 6 mois après ( par exemple) ou 3 mois avant l'inventaire le temps de faire les retours et d'être crédité. Il faut faire attention aux livres dépassés en socio politique car donne mauvaise image du rayon. (idem pour économie, droit) | |||||||||||||||||||||||||
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