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PROSPECTUS DE RECHERCHE SCIENTIFIQUE EN PSYCHOLOGIE CLINIQUE
Institution organisatrice : Université Libre des Pays de Grands Lacs (ULPGL) Institution praticienne : Heal Africa Nom du candidat chercheur : Samuel KASEREKA MUSISIVA Qualification : Licencié en Psychologie clinique Fonction : Enseignant en formation à l’école doctorale de l’ULPGL/Goma Thème de recherche: Impact de la représentation communautaire des violences sexuelles sur la santé mentale de la survivante dans la province du Nord Kivu en République Démocratique du Congo. Etude menée à Heal Africa.
L’Université Libre des Pays des Grands Lacs est un établissement d’enseignement universitaire non gouvernemental initié par six confessions religieuses protestantes et issu de la transformation, en mars 1990, de l’Institut Supérieur de Théologie Protestante (ISTP), dont la création remonte à 1985 à Goma. L’Arrêté du Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire n°ESU/CABMIN/0188/91 du 16/08/91 lui accorda l’autorisation d’ouverture, tandis que celui portant N° ESURS/CABMIN/0108/92 du 02/05/92 reconnaissait les diplômes délivrés par l’ULPGL. Cet Arrêté fut modifié et complété par l’Arrêté ministériel N° ESURS/CABMIN/A5/0022/96 du 31 janvier 1996 portant agrément de l’Université, le Décret N°0016 du 27 mai 1996 accorda la personnalité civile à l’ULPGL tandis que le Décret présidentiel N° 006 du 16 mai 2006 portait son agrément. L’Université Libre des Pays des Grands Lacs est une organisation religieuse non gouvernementale sans but lucratif (ONG-ASBL). Le siège est établi dans la ville de Goma, Province du Nord Kivu, en République Démocratique du Congo. Vision : Développer une approche d’enseignement scientifique et de la recherche répondant aux aspirations de la société, dans la Région des Grands Lacs. Mission : Former les cadres universitaires en leur assurant un enseignement académique et scientifique de qualité, en étroite collaboration avec les communautés locales. Valeurs : L’éthique et la déontologie ; L’égalité et la justice ; La distribution des services envers les vulnérables ; L’esprit d’équipe et d’excellence ; L’amour interprofessionnel ; L’atmosphère de travail de bonne moralité ; La confidentialité et transparence. Devise : Foi, Science, Action Facultés organisées : La Faculté de Théologie (4 options: Ethique et théologie systématique, Histoire du Christianisme et La théologie pratique; Sciences bibliques) ; La Faculté de Droit, (3 options : Droit privé et Judiciaire, Droit public et Droit économique) ; La Faculté des Sciences Economiques et de Gestion (4 options : Gestion financière, Gestion des entreprises, Marketing et Economie monétaire) ; La Faculté de Santé et Développement Communautaires, ( 3 options: Santé environnemental, Santé et développement communautaire,Gestion et administration des projets de santé) ; La Faculté des Sciences et Technologies Appliquées, (3 options: Génie civil, Génie électrique et Génie informatique) ; La Faculté de Psychologie et Sciences de l'Education, avec 2 Départements : Département des Sciences de l’éducation ( 3 options :Administration et planification scolaire , Didactique) ;Département de Psychologie (2 options :Psychologie clinique et psychologie du travail). Le Département de Psychologie dans son orientation de Psychologie clinique dont les recherches sont menées, poursuit les objectifs suivant :
C’est dans ce cadre que l’Université a signé un partenariat avec Heal Africa, une organisation praticienne afin de réaliser ces objectifs ci-haut repris. Pour y arriver, elle envois dans le cadre de stage de professionnalisation, les étudiants afin de marier les théories apprises pendant les enseignements à la pratique faite au sein de Heal Africa. Et ce dernier, sollicite une expertise psychologique auprès de l’Université pour la prise en charge spécialisée de cas de complications consécutives à la guerre et le renforcement de capacité de personnel chargé de l’accompagnement psychologique des survivants de violences sexuelles encadrés par Heal Africa. C’est ainsi que monsieur Samuel MUSISIVA, le réalisateur de la recherche a été affecté comme consultant psychologue clinicien au sein de Heal Africa afin de jouer le pont entre l’ULPGL et Heal Africa dans cette matière.
Heal Africa (Health, Education, Action, Leadership Development) est une organisation humanitaire qui existe juridiquement en 2005. Cependant, les activités humanitaires de Docteur KM LUSI et de Madame LYN sont largement antérieures à 2005. Résident à Goma, ces deux initiateurs ont travaillé avec la CBCA avant de co-initier DOCS vers les années 1999. Après DOCS, Dr.KM LUSI Jonathan a fondé DOCS Heal Africa, qui devient formellement HEAL Africa ASBL avec l’assistance de Madame LYN LUSI, Professeur Samuel NGAYIHEMBAKO (Recteur de l’ULPGL à l’époque) et les autres. HEAL Africa est une organisation chrétienne non gouvernementale basée à Goma, dans la province du Nord Kivu en République Démocratique du Congo. Cette organisation œuvre dans les domaines de la santé et du développement communautaire et soutient les vulnérables depuis plus de dix ans. Elle offre à la communauté de l’Est du Congo les soins de santés physique et mentale, les formations professionnelles, la réintégration économique, la protection, la gestion de conflits, la sécurité alimentaire. Elle fait aussi des recherches et propose également une assistance légale et spirituelle surtout aux femmes ayant subies des violences sexuelles. HEAL Africa est présente au Nord Kivu et au Maniema. Elle organise aussi des cliniques mobiles à l’Équateur, dans la Province Orientale le Katanga, et dans le Sud Kivu.
Les violences sexuelles sont une réalité alarmante dans beaucoup de pays du monde. Cela est d’autant plus vrai en République Démocratique du Congo (RDC), où les conflits armés, l’impunité et la pauvreté contribuent à entretenir un contexte de violence généralisée. Au Nord Kivu, on estime que deux tiers de la population féminine ont subi des violences sexuelles depuis 1996 jusqu’à nos jours1. Plusieurs partenaires étatiques et non étatiques se sont engagés dans la lutte contre les violences sexuelles bien qu’on ne puisse pas affirmer qu’une réponse définitive a déjà été trouvée. Les auteurs de viol sont de différentes catégories sociales. En dépit du fait que les hommes en armes continuent à violer, de plus en plus de civils se vouent à ces actes de destructions sociales autant que psychologiques. Ils s’attaquent aux femmes, aux hommes (à faible proportion) et aux enfants. Ces derniers ne sont pas épargnés peu importe leur âge. Les plus jeunes victimes traitées par l’hôpital HEAL Africa ont eu seulement deux ans2. Cette situation devient de plus en plus préoccupante au point de retenir l’attention de scientifique quant à la représentation qu’a la communauté face à ces actes de criminalité aigu et son impact sur la santé de la survivante. A un moment, ces actes ont été attribués aux hommes en arme sous prétexte que ces derniers les ont pris comme une arme de guerre dans l’Est de la République démocratique du Congo voulant ainsi se pencher sur les raisons pouvant expliquer de tels niveaux de violence. Leur récurrence ne fait aucun doute dans le Nord-Kivu où les femmes, les filles, les hommes et les garçons continuent à être victimes de violences sexuelles et d’abus perpétrés principalement par ces différents groupes armés. S’appuyant sur 15.457 cas de violences sexuelles rapportés en 2010 sur l’ensemble du territoire congolais (RDC) par le Fonds des Nations Unies pour la Population, l’analyse des cas rapportés au 1er semestre 2011 dans la partie Est du pays (affectée par les conflits armés) conforte le comportement différentiel du phénomène, selon qu’il se manifeste dans la province du Sud-Kivu (conditions sécuritaires volatiles, 1.339 cas de violences sexuelles rapportés) ou le district de l’Ituri (Province orientale, accalmie relative, 1.179 cas rapportés). On en déduit la nécessité de prendre en compte les dimensions structurelle et conjoncturelle des violences sexuelles dans la recherche de leurs déterminants3. Bien que les militaires restent les principaux auteurs des abus sexuels, ceux-ci sont également commis par des civils, y compris des prétendues sources d’autorité morale, comme des enseignants, pasteurs, prêtres, catéchistes, et militants de la paix. Trois grands types de problèmes peuvent expliquer la persistance de ces actes de violences : la pauvreté, la faiblesse des structures étatiques et ses conséquences (la corruption et l’impunité), les liens entre insécurité physique, insécurité économique et revendications économiques, identitaires, combinés à une véritable disjonction entre la théorie et la pratique de l’autorité de l’État. Ces derniers mettent à l’épreuve le sentiment d’ordre et de justice qu’éprouve la population, et par là même, son sens de soi. Si beaucoup cherchent refuge en s’exilant, d’autres ont recours aux drogues et à l’alcool, qui contribuent, selon certains répondants, aux niveaux élevés de violences sexuelles4. Par ailleurs, les normes traditionnelles de genre qui stigmatisent les victimes féminines et masculines de violences sexuelles, rendent encore plus difficile le combat contre l’impunité, puisque nombre de victimes ne peuvent briser le silence autour de ce qui leur est arrivé. Le déclin des mécanismes traditionnels de l’éducation sexuelle, associé au rôle des églises qui renforcent les tabous autour des débats ou du traitement des questions de sexe et de sexualité hors du cadre normatif du mariage chrétien, font accroitre progressivement l’apparition de ces actes et gêne la compréhension d’ampleur de conséquences de ces crimes par les auteurs. Les justifications populaires des hommes qui violent des femmes voire d’autres hommes varient fortement et cela sans égard pour la sexualité de la victime. Si la culture et les coutumes entretiennent manifestement des modèles de violences sexuelles, il arrive que les organisations non gouvernementales et la communauté internationale en fassent de même. Bien que les communautés du Nord kivu précisément celles résidant dans les différentes zones où se déroule cette étude (Territoire de Lubero, de Masisi et de Rutshuru) et parmi lesquelles, on l’on enregistre les cas de viol, adhèrent au principe de la punition des auteurs prévu par la loi de 2006, le fait que la loi établisse effectivement l’âge légal des relations sexuelles à 18 ans est problématique chez les communautés pour qui, depuis toujours y compris durant les guerres des années 1996 à nos jours, le mariage était intimement lié à la puberté. L’insistance des politiques sur le « viol comme arme de guerre » peut freiner la compréhension qu’ont les médiateurs locaux ou internationaux des violences sexuelles et de ce qui motive les auteurs qui n’agissent pas dans le cadre d’une opération militaire. Ces auteurs semblent être effectivement déshumanisés et oubliés, même si nombre d’entre eux sont des victimes devenues auteurs. Par le filtre de cette déshumanisation, combinée aux difficultés à obtenir un signalement précis par les victimes ainsi que le manque relatif de données précises sur qui commet quelles violences sexuelles, la majorité des interventions sont élaborées et mises en œuvre dans une zone d’ombre statistique et conceptuelle. Les faits et les raisons sont, dans le meilleur des cas, vaguement compris. Cela rend difficile, voire impossible, une programmation de lutte contre ce fléau qui répondrait aux causes et dynamiques sous-jacentes et briserait le cycle dans lequel la survivante devient auteur5. C’est ainsi que les statistiques de cas de survivants et des auteurs civils ne cessent de croitre. Considérant seulement le premier semestre de l’an 2012, HEAL Africa a enregistré au Nord Kivu 2517 personnes qui ont survécu aux violences sexuelles et basées sur le genre. Parmi elles, 2339 sont des femmes, et 178 sont des hommes. Pour tous les cas précités, le nombre total des auteurs de violences est de 2134. (6) La disparité entre le chiffre des personnes qui ont survécu aux violences sexuelles et basées sur le genre et celui des auteurs se justifie par le fait qu’une personne peut être violée par une personne ou un groupe de personnes, d’une part, et que de l’autre part, une personne peut violer une ou plusieurs personnes. 1108 présumés auteurs sont des civils (soit 52 %) et 1026 sont des hommes en armes7. Sans se limiter seulement aux cas identifiés par Heal africa, voici brièvement un tableau résumant, les cas de violences sexuelles en RDC depuis 1998 jusqu’à 2009. Tableau N°1 : Statistique de cas de violences sexuelles identifiés de 1998 à 2009
En outre, Les mineurs qui constituent la couche de la population qui concerne cette étude, subissent de plus en plus des violences sexuelles, commises principalement par des personnes qu’ils côtoient dans la communauté. Plusieurs facteurs renforcent la vulnérabilité de ces mineurs face aux violences sexuelles. Il s’agit entre autres de :
La vulnérabilité des enfants face aux violences sexuelles est la même tant dans les milieux urbains et ruraux. Toutefois, dans les villes les statistiques sont plus élevées que dans les villages. Cela s’explique par le fait que dans les villes, l’opportunité à dénoncer un acte de violence est plus grande que dans les villages. Revenons aux statistiques de Heal Africa au cours du premier semestre de l’année 2012, où 304 personnes dont 3 hommes ont été reçues à l’hôpital pour une prise en charge médicale, après qu’elles ont subi des actes de violences sexuelles. Parmi ces personnes figurent 225 jeunes filles de moins de 18 ans, soit 74%8. L’hôpital général de référence de PANZI9 à Bukavu a enregistré à la même année, 1338 cas parmi lesquels, 298 sont des mineurs tandis que l’hôpital CEPAC Kyeshero de Goma a identifié 345 cas des mineurs10. La division provinciale de la santé Nord Kivu dans son programme national de santé de la reproduction sous le volet de SGBV a enregistré 3841 cas dont 920mineurs11. Ainsi, toutes ces victimes ont développés d’une façon ou d’une autre une série de conséquences néfastes aussi bien au niveau de leur santé physique, économique qu’au niveau de leur santé mentale. De ce qui précède, trois grandes questions conduisent cette recherche. Il s’agit de :
1. Objectifs du travail Dans le but de vérifier les effets des perceptions communautaires de violences sexuelles sur la santé mentale des survivantes au Nord Kivu, cette investigation qui s’inscrit dans le domaine de la psychopathologie s’est assigné les objectifs suivants :
2. L’importance du sujet Les violences sexuelles ayant une incidence grave sur la santé mentale des femmes et des enfants qui constituent la majorité des victimes, le but de cette recherche est celle de démontrer en premier lieu, comment les communautés du Nord Kivu perçoivent les violences sexuelles faites aux enfants et la manière dont ces derniers se les représentent dans leurs vécus quotidiens. En deuxième lieu, vérifier si ces perceptions ont de l’impact sur le fonctionnement de la survivante et sur sa famille afin d’identifier les principaux problèmes de santé mentale que connaissent ces survivantes par suite à ces actes et aux distorsions qui en découlent. Cette étude s’inscrit dans le domaine de psychopathologie systémique. Elle vient brosser la sémiopathologie, l’étiopathologie et anthropopathologie des perturbations de la survivante en souffrance d’humanisation causée par le viol et les dysfonctions familiales qui peuvent en découler. Ainsi, elle constitue un document de travail utile aux responsables ou intervenants de santé tant mentale que physique par le fait que l’évolution de ces différents troubles décelés comme conséquences principales de violences sexuelles tiendra compte désormais des informations fiables sur la santé mentale des victimes et sur l’étiologie de ces dysfonctions. 3. Méthodologie Il existe des situations où le chercheur peut s’occuper d’un nombre très limité de sujets surtout s’il s’agit de l’utilisation de la méthode clinique en vue de réaliser une étude approfondie et détaillée. Dans ce cas, l’objectif poursuivi n’est pas la généralisation des résultats plutôt la connaissance des particularités spécifiques des individus pour comprendre leur situation et parvenir à l’expliquer. Ainsi, l’insuffisance sur le plan quantitatif est compensée par la richesse des informations qualitatives. Pour ce faire, et dans le cas de cette recherche dont la méthode utilisée est dite clinique, nous allons travailler avec 50 personnes membres de la communauté du milieu d’étude c'est-à-dire de la cité de Kiwanja (80km de la ville de Goma) et le village de Sake (35km de la ville de Goma) au Nord Kivu. Parmi ces personnes, un travail de suivi approfondi a été déjà fait sur 5 cas incidents survivants de viol, 25 autres survivantes de viol avaient déjà bénéficié d’une prise en charge faite par les conseillères psychosociales formées par Heal Africa sous notre supervision. Les 20 personnes restantes seront retenues occasionnellement dans le cadre d’une démarche expérimentale visant à former 3 groupes de travail dont le premier est constitué de ces 30 survivants de viol (24filles et 6garçons) pour lesquels les auteurs sont des hommes en arme; le second groupe de 20 jeunes (16filles et 4garçons) survivants de violences sexuelles dont les auteurs sont de civils et le troisième groupe de 10 adultes parents des jeunes survivants (5hommes et 5 femmes) considérés comme groupe témoins et aussi vérifier la perception qu’ils ont face aux violences sexuelles et aux survivants de violences sexuelles. Cela étant, nous signalons qu’il s'agira d'identifier l'impact potentiel de la représentation communautaire de l’agression sexuelle sur l'organisation psychologique de la survivante et si elle a constitué sans doute indéniablement un événement traumatique. Les variables Quelques variables retenues : sexe, situation familiale, niveau d’éducation, revenus, âge de la survivante, catégorie des auteurs (homme en arme ou civil), lien de parenté avec l’abuseur et la représentation sociale de l’agression sexuelle par la communauté. Les variables indépendantes sont les violences sexuelles particulièrement le viol ou tentative ou des attouchements Le protocole de recherche Il s'agit d'une recherche assimilée à une recherche cas-témoin de type comparatif. Elle cherche à montrer les conséquences de la représentation sociale d'une agression sexuelle sur les survivantes au niveau de leur traumatisme. Ce traumatisme pourrait provoquer un ébranlement de la structure psychique de la survivante, mais également des limites et représentations inconscientes de l’image du corps. Nous verrons quel impact le traumatisme a eu sur la survivante et sur sa famille grâce à l’approche clinique soutenue par les techniques d’entretien, d’observation et les tests dont le TRAUMAQ ; le MMPI et le SCL-90 R BIBLIOGRAPHIE PROPOSEE
BUDGET ESTIMATIF
Commentaire :
1 http://www.healafrica.org/wp-content/uploads/2012/09/Bericht_final-French.pdf 2 Idem 3 Bureau de représentation du Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA) en République Démocratique du Congo (RDC), Goma. 4 http://www.unhcr.fr/4bd1ae3f9.html. 5 International Alert, Réseau des femmes pour un développement alternatif (RFDA), Réseau des femmes pour la défense des droits et la paix (RFDP) (2005) : Le corps des femmes comme champ de bataille durant la guerre en République démocratique du Congo. Violences sexuelles contre les femmes et les filles au Sud-Kivu (1996 2003), Londres. 6 http://www.healafrica.org/wp-content/uploads/2012/09/Bericht_final-French.pdf 7 Idem 8 Ibidem, p10 9 Archive du département statistique et monitoring de l’hôpital de PANZI 10 Archive de l’hopital CEPAC Kyeshero/Goma 11 Archive DPS/PNSR/NK |
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