Monsieur le comte de Fontaine, chef de l’une des plus anciennes familles du Poitou, avait servi la cause des Bourbons avec intelligence et courage pendant les





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IIIE SCÈNE.

LE BAL DE SCEAUX.

MONSIEUR le comte de Fontaine, chef de l’une des plus anciennes familles du Poitou, avait servi la cause des Bourbons avec intelligence et courage pendant les longues guerres que les Vendéens firent à la république. Ayant eu assez de bonheur pour échapper aux proscriptions , aux dangers de cette époque orageuse et salutaire de l’histoire contemporaine, il disait gaîment qu’il faisait partie de ceux qui s’étaient tous fait tuer sur les marches du trône, car il avait été laissé parmi les morts à la sanglante journée des Quatre-Chemins.

Quoique ruiné par des confiscations, ce fidèle Vendéen refusa constamment de remplir les places lucratives qui lui furent offertes par l’empereur Napoléon. Invariable dans sa religion aristocratique, il en avait aveuglément suivi les maximes, quand il jugea convenable de se choisir une compagne. Au mépris des séductions dont l’entourait la famille d’un riche parvenu de la révolution, l’ex-comte épousa une jeune fille sans fortune, mais qui appartenait à la meilleure maison de la province.

La restauration surprit M. de Fontaine chargé d’une nombreuse famille. Quoiqu’il n’entrât pas alors dans les idées du généreux gentilhomme de solliciter des grâces, il céda néanmoins aux désirs de sa femme, quitta la petite terre dont le revenu modique suffisait à peine aux besoins de ses enfans, et vint à Paris.

Contristé de l’avidité avec laquelle ses anciens camarades convoitaient la curée des places, des richesses et des nouvelles dignités de l’Empire, il allait retourner à sa terre, lorsqu’ il reçut une lettre ministérielle par laquelle, une excellence assez connue lui annonçait sa nomination au grade de maréchal-de-camp, en vertu de l’ordonnance qui permettait aux officiers des armées catholiques de compter les vingt premières années du règne de Louis XVIII, comme années de service. Puis quelques jours après, le Vendéen reçut, sans aucune sollicitation, et d’office, l’ordre de la Légion-d’Honneur et celui de Saint-Louis.

Ebranlé dans sa résolution par ces grâces successives, dont il se croyait redevable au souvenir du Roi, il pensa, qu’il ne devait plus se contenter de mener sa famille, comme il l’avait pieusement fait chaque dimanche, crier vive le Roi dans la salle des maréchaux, au passage des princes quand ils se rendaient à la chapelle. Il sollicita la faveur d’une entrevue particulière.

Cette audience lui fut gracieusement accordée, mais il se trouva que sa visite n’eut rien de particulier ; car le salon royal était presque plein de vieux serviteurs dont les têtes poudrées, vues d’une certaine hauteur, ressemblaient, par leur agglomération, à un tapis de neige. Il retrouva beaucoup d’anciens compagnons , qui le reçurent d’un air un peu froid, mais les princes lui parurent adorables.

Cette expression d’enthousiasme échappa au gentilhomme, quand le plus gracieux de ses maîtres, dont il n’était connu que de nom, ayant été à lui, lui serra la main et le proclama à haute voix : le plus pur des Vendéens. Mais il ne vint à l’idée d’aucun de ceux dont il était entouré de lui demander ni le compte des pertes qu’il avait subies, ni celui de l’argent qu’il avait versé dans les caisses de l’armée catholique ; et il s’aperçut, un peu tard, qu’il avait fait la guerre à ses dépens.

Aussi à la fin de la soirée, il hasarda une allusion fort spirituelle à l’état de ses affaires, état qui devait être celui de bien des gentilshommes ; le roi se prit à rire d’assez bon cœur, car tout ce qui était marqué au coin de l’esprit avait le don de lui plaire; mais il répliqua par une de ces royales plaisanteries dont la douceur est plus à craindre, que la colère d’une réprimande.

Un des plus intimes confidens du Roi ne tarda pas à s’approcher du Vendéen calculateur ; et, par une phrase fine et polie, il fit entendre à M. de Fontaine que le moment n’était pas encore venu de compter avec les maîtres; qu’il y avait sur le tapis des mémoires plus arriérés que le sien et qui devaient sans doute servir à l’histoire de la révolution.

Le comte sortit prudemment du groupe vénérable qui décrivait un respectueux demi- cercle devant l’auguste famille; et, après avoir, non sans peine, dégagé son épée du sein de la petite forêt de jambes grêles où elle était engagée, il regagna pédestrement , à travers la cour des Tuileries, le modeste fiacre qu’il avait laissé en station sur le quai. Puis, avec cet esprit rétif qui distingue la noblesse de vieille roche, chez laquelle le souvenir de la Ligue et des Barricades n’est pas encore éteint, il se plaignit dans le fiacre, à haute voix et de manière à se compromettre, sur le changement survenu à la cour.

— Autrefois, disait-il, chacun parlait librement au Roi de ses petites affaires, et tous les seigneurs pouvaient à leur aise lui demander des grâces et de l’argent. Ne voilà-t-il pas qu’aujourd’hui l’on n’obtiendra pas , sans scandale, de se faire rembourser les sommes avancées pour son service. Morbleu ! la croix de Saint-Louis et le grade de maréchal-de-camp ne valent pas six cent mille livres; et je les ai certes bien dépensées pour la cause royale. Je veux parler au Roi, en face, et dans son cabinet.

Cette scène refroidit d’autant plus le zèle de monsieur de Fontaine, que ses demandes d’audience restèrent constamment sans réponse, et qu’il vit les intrus de l’Empire arriver à quelques-unes des charges réservées aux meilleures maisons dans l’ancienne monarchie.

— Tout est perdu, dit-il un matin, je crois, morbleu, que le Roi est un révolutionnaire, et, sans Monsieur, qui au moins ne déroge pas, et console ses fidèles serviteurs, je ne sais en quelles mains irait un jour la couronne de France, si cela continuait. Décidément ce qu’ils appellent le régime constitutionnel est le plus mauvais de tous les systèmes de gouvernement, et ne pourra jamais convenir à la France. Louis XVIII a tout gâté à St.-Ouen.

Alors le comte, au désespoir, se prépara à retourner à sa terre, en abandonnant avec noblesse ses prétentions à une indemnité. Tout-à-coup, les évènemens du vingt mars annoncèrent une nouvelle tempête qui menaçait d’engloutir la légitimité et ses défenseurs. Semblable à ces gens généreux qui ne renvoient pas un serviteur par un temps de pluie, M. de Fontaine emprunta à gros intérêts sur sa terre, pour suivre la monarchie en déroute, sans savoir si cette complicité d’émigration lui serait plus propice que son dévouement passé.

Il avait, il est vrai, remarqué, qu’à la cour les compagnons de l’exil étaient mieux reçus et plus avancés en faveur que les braves qui avaient protesté, les armes à la main, contre l’établissement de la république, et il espérait que cette fois le voyage lui serait plus profitable qu’un service actif et périlleux à l’intérieur.

Ses calculs de courtisannerie ne furent pas, cette fois, une de ces vaines spéculations qui, après avoir promis sur le papier des résultats superbes, ruinent par leur exécution.

Il fut donc un des cinq cents fidèles serviteurs qui partagèrent l’exil de la cour à Gand, et un des cinquante mille qui en revinrent.

Pendant cette courte absence de la royauté, M. de Fontaine eut le bonheur d’être employé par Louis XVIII lui-même. Il eut plus d’une occasion de donner au Roi des preuves d’une grande probité politique et d’un attachement sincère. Un soir, le monarque n’ayant rien à faire, se souvint du bon mot dit par M. de Fontaine aux Tuileries. Le vieux Vendéen , ne laissant pas échapper un tel à-propos, raconta son histoire assez spirituellement pour que ce Roi, qui n’oubliait rien, pût se la rappeler en temps utile. L’auguste littérateur remarqua la tournure fine donnée à quelques notes dont il avait confié la rédaction au discret gentilhomme, et cette dernière circonstance inscrivit M. de Fontaine, dans la mémoire du Roi, parmi les plus loyaux serviteurs de sa couronne.

Alors au second retour, le comte de Fontaine fut un de ces envoyés extraordinaires qui parcoururent les départemens. Il usa modérément du terrible pouvoir qui lui était confié; et, aussitôt que cette juridiction temporaire eut cessé, il s’assit dans un des fauteuils du conseil-d’ état, devint député, parla peu, écouta beaucoup, et changea considérablement d’opinion. Enfin, grâce à quelques circonstances qui ont échappé à l’investigation des plus curieux biographes, il entra assez avant dans l’intimité du prince, pour qu’un jour le malicieux monarque l’interpellât ainsi en le voyant entrer :

— Mon ami Fontaine, je ne m’aviserais pas de vous nommer directeur-général ni ministre, car ni vous ni moi ne resterions en place, à cause de nos opinions. Le gouvernement représentatif a cela de bon qu’il nous ôte la peine que nous avions jadis, de renvoyer nous-mêmes nos pauvres amis les Secrétaires-d’état. Notre conseil est une véritable hôtellerie, où l’opinion publique nous envoie souvent de singuliers voyageurs, mais enfin nous saurons toujours où placer nos fidèles serviteurs.

Cette ouverture moqueuse fut suivie d’une ordonnance qui nommait M. de Fontaine à une place fort lucrative dans l’administration du domaine extraordinaire de la Couronne. Par suite de l’intelligente attention avec laquelle M. de Fontaine écoutait les phrases sardoniques de son royal ami, son nom se trouva toujours sur les lèvres du prince, toutes les fois qu’il y eut lieu de créer une commission quelconque. Il eut le bon esprit de taire la faveur dont l’honorait le Roi et sut l’entretenir par la manière piquante dont il racontait secrètement, dans une de ces causeries familières dont Louis XVIII était aussi avide que de billets agréablement écrits, toutes les anecdotes politiques et, s’il est permis de se servir de cette expression, les cancans diplomatiques ou parlementaires dont l’époque était féconde. On sait que les détails de sa gouvernementabilité, mot adopté par l’auguste railleur, l’amusaient infiniment.

Grâce au bon sens, à l’esprit et à l’adresse de M. le comte de Fontaine, chaque membre, si jeune qu’il fût, de sa nombreuse famille finit, ainsi qu’il le disait plaisamment à son maître, par se poser comme un ver à soie, sur les feuilles du budget.

Ainsi, par les bontés du Roi, l’aîné de ses fils parvint à une place fort éminente de la magistrature inamovible. Le second qui était capitaine avant la restauration, obtint une légion immédiatement après son retour de Gand; puis, à la faveur des mouvemens de 1815, pendant lesquels on observa peu les réglemens, il passa dans la garde royale, repassa dans les gardes-du-corps, revint dans la ligne, et, de là, se trouva un beau matin lieutenant-général aux environs du Trocadéro.

Le dernier, nommé sous-préfet, ne tarda pas à devenir maître des requêtes et directeur d’une administration parisienne qui était à l’abri des tempêtes législatives.

Toutes ces grâces sans éclat étaient secrètes comme la faveur du chef de la famille, et passaient inaperçues. Quoique le père et les trois fils eussent assez de sinécures pour jouir chacun d’un revenu budgétaire presqu’aussi considérable que celui d’un directeur-général, leur fortune politique n’excita l’envie de personne, car dans ces temps de premier établissement du système constitutionnel, peu de personnes avaient des idées bien justes sur les régions paisibles du budget, dans lesquelles d’adroits favoris surent trouver l’équivalent des abbayes détruites. Mais M. le comte de Fontaine, qui naguères encore se vantait de n’avoir pas lu la Charte, et se montrait jadis si courroucé contre les gens de cour, ne tarda pas à faire voir à son auguste maître qu’il comprenait aussi bien que lui l’esprit et les ressources du représentatif.

Cependant malgré la sécurité des carrières qu’il avait ouvertes à ses trois fils, et malgré les avantages pécuniaires qui résultaient du cumul de ses quatre places, M. de Fontaine se trouvait à la tête d’une trop nombreuse famille pour pouvoir rétablir promptement et facilement sa fortune. Ses trois fils étaient riches d’avenir, de faveur et de talent; mais il avait trois filles, et craignait de lasser la bonté du monarque. Il imagina de ne jamais lui parler que d’une seule de ces vierges pressées d’allumer leur flambeau. Le Roi, ayant trop bon goût pour laisser son oeuvre imparfaite , aida au mariage de la première avec un receveur-général, par une de ces phrases royales qui ne coûtent rien et valent des millions.

Un soir que le monarque était maussade, il se prit à sourire en apprenant qu’il existait encore une demoiselle de Fontaine, et il lui trouva , pour mari, un jeune magistrat d’extraction bourgeoise, il est vrai, mais riche et plein de talent. Il se fit même un malin plaisir de le créer baron.

Mais lorsque le Vendéen parla de mademoiselle Emilie de Fontaine, le Roi lui répondit, de sa petite voix aigrelette :

— Amicus Plato, sed magis amica natio.

Puis, quelques jours après, il régala son ami Fontaine d’un quatrain assez innocent qu’il intitulait épigramme, et dans lequel il le plaisantait sur ses trois filles si habilement présentées à son attention, sous la forme d’une trinité, car c’était, s’il faut en croire la chronique, dans l’unité en trois personnes que le monarque avait été prendre son bon mot.

— Si Votre Majesté voulait changer son épigramme en épithalame ?.... dit le comte en essayant de faire tourner cette boutade à son profit.

— Je n’en vois pas la raison, répondit aigrement le Roi.

La plaisanterie faite sur sa poésie ne plut pas au Roi; et, à compter de ce jour, son commerce eut moins d’aménité avec M. de Fontaine.

Le comte conçut d’autant plus de chagrin de cette espèce de disgrâce, que cette fille était, comme le sont les derniers enfans dans toutes les familles, un Benjamin gâté par tout le monde. Le refroidissement du monarque à son égard fit donc d’autant plus de peine à M. de Fontaine , que jamais mariage ne paraissait plus difficile à conclure que celui de cette fille chérie.

Pour concevoir tous ces obstacles, il faut pénétrer dans l’enceinte du bel hôtel où l’administrateur était logé aux dépens de la couronne.

Mademoiselle Émilie, ayant passé son enfance à la terre de Fontaine, y avait joui de cette abondance qui suffit aux premiers plaisirs des enfans. Ses moindres désirs y étaient des lois pour ses sœurs, pour ses frères, pour sa mère, et même pour son père, car tous ses parens en raffolaient. Elle était arrivée à l’âge de raison , précisément au moment où sa famille fut comblée des capricieuses faveurs de la fortune. Le luxe dont elle fut entourée lui sembla une chose tout aussi naturelle que cette richesse de fleurs et de fruits, que l’air pur, les bois et l’opulence champêtre qui avaient fait le bonheur de ses premières années. De même qu’elle n’avait éprouvé aucune contrariété dans son enfance, quand elle voulait satisfaire de joyeux désirs, de même elle se vit encore obéie, lorsqu’à l’âge de quatorze ans, elle se lança dans le tourbillon du monde. Comprenant ainsi, par degrés, les jouissances de la fortune, elle apprécia les avantages de la parure, devint amoureuse de l’élégance, s’habitua aux dorures des salons, au luxe des équipages, aux complimens flatteurs , aux recherches de la toilette, aux bijoux, aux parfums des fêtes , aux vanités de la cour. Tout lui sourit. Elle vit de la bienveillance dans tous les yeux pour elle, et comme les enfans gâtés, elle en profita pour tyranniser ceux qui l’aimaient, tandis qu’elle réservait ses coquetteries aux indifférens. Ses défauts ne firent que grandir avec elle.

Son père et sa mère devaient tôt ou tard recueillir les fruits amers de cette éducation funeste. Mademoiselle Émilie de Fontaine était arrivée à l’âge de dix-neuf ans sans avoir voulu faire de choix parmi les nombreux jeunes gens dont la politique de M. de Fontaine peuplait ses fêtes. Cette jeune personne jouissait dans le monde de toute la liberté d’esprit que peut y avoir une femme mariée. Sa beauté était si remarquable que, pour elle , paraître dans un salon c’était régner; or, semblable aux rois, elle n’avait pas d’amis, et devenait partout le sujet d’une conspiration de flatterie, à laquelle un naturel meilleur que le sien n’eût peut-être pas résisté. Parmi les hommes , les vieillards eux-mêmes n’avaient pas la force de contredire les opinions d’une jeune fille qui les charmait d’un regard. Élevée avec un soin particulier , pour tout ce qui concernait ce qu’on nomme les talens d’agrément, elle peignait assez bien et dessinait encore mieux. Elle était d’une force désespérante sur le piano, avait une voix délicieuse , déchiffrait à livre ouvert, dansait à merveille, et savait entretenir une conversation spirituelle sur toutes les littératures. Elle parlait l’italien et l’anglais; bref, elle aurait pu faire croire que, comme dit Mascarille, les gens de qualité viennent au monde en sachant tout. Elle éblouissait les gens superficiels, et son tact naturel l’aidant à reconnaître les gens profonds, elle déployait pour eux tant de coquetteries, qu’à la faveur de ses séductions, elle savait échapper à leur sérieux examen.

Alors elle pouvait parler peinture ou littérature anglaise, juger à tort et à travers, faire ressortir avec une cruelle grâce d’esprit les défauts d’un tableau ou d’un ouvrage, le moindre mot d’elle était reçu par la foule idolâtre comme un 
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