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Un document produit en version numérique par M. Daniel Banda, bénévole, Professeur de philosophie en Seine-Saint-Denis et chargé de cours d'esthétique à Paris-I Sorbonne et Paris-X Nanterre Courriel: mailto:banda@noos.fr à partir de : Gottfried Wilhelm Leibniz (1646-1716) La Monadologie (1714) Une édition électronique saisie à partir du livre de Gottfried Wilhelm Leibniz, La Monadologie, édition annotée par émile Boutroux, initialement publiée chez C. Delagrave, Paris, 1881, 231 pages. Polices de caractères utilisée : Pour le texte: Times New Roman, 12 points. Pour les notes de bas de page : Times New Roman, 10 points. Édition électronique réalisée avec le traitement de textes Microsoft Word 2001. Mise en page sur papier format LETTRE (US letter), 8.5’’ x 11’’) Édition complétée le 15 octobre 2002 à Chicoutimi, Québec. Table des matièresAvertissement sur l’édition (Daniel Banda) Notice sur la Monadologie d’Émile Boutroux La monadologie de Leibniz La Monadologie Gottfried Wilhelm Leibniz (1714) Retour à la table des matières La Monadologie, écrite en français par Leibniz en 1714, est publiée après sa mort dans une traduction en allemand par Kœhler (1721). L’original (en français) est publié par Erdmann en 1840. En 1881, émile Boutroux publie La Monadologie d’après les trois manuscrits (C. Delagrave, 1881, 231 pages). L’œuvre de Leibniz est accompagnée d’une « Vie de Leibnitz », d’une « Philosophie de Leibnitz », d’une « Notice sur la Monadologie » et d' « éclaircissements » d’E. Boutroux. Elle est suivie d’extraits d’œuvres de Leibniz ainsi que d’une « Note sur les principes de la mécanique dans Descartes et dans Leibnitz » par Henri Poincaré. Nous reproduisons ici La Monadologie (pages 141 à 192 de l’édition d’E. Boutroux), précédée de la « Notice sur la Monadologie » (pages 135 à 140), et sans les notes (« éclaircissements ») de Boutroux. Nous avons saisi et scanné ces pages à partir de l’édition encore publiée par la Librairie Delagrave, Paris, en 1978 : La Monadologie, édition annotée, et précédée d’une exposition du système de Leibnitz par émile Boutroux. Nous avons eu le souci de reproduire exactement le texte de l’édition Delagrave, à l’image du respect d’E. Boutroux pour les manuscrits qu’il a consultés : « Nous avons respecté, non pas l’orthographe qui n’a évidemment aucune importance, mais la ponctuation de Leibnitz dont les particularités, à vrai dire, tiennent principalement aux habitudes allemandes. Nous avons même maintenu le plus souvent les majuscules. du manuscrit, à la suppression desquelles Leibnitz ne consentait pas volontiers, comme en font foi ses corrections sur les copies. Et, de fait, ces majuscules ne sont pas simplement, comme dans l’écriture allemande ordinaire, la marque d’un substantif : elles indiquent visiblement dans la pensée de l’auteur un mot important. C’est ainsi qu’il écrit : Monade, Perception, Appétition, tandis qu’il ne met pas de majuscules aux substantifs de le langue commune » (Avant-propos, p. III). D. B. |